Enressortant de la crypte, on change encore d'époque. La renaissance se dévoile dans un morceau du XVIIe siècle dédié à Anne de Bretagne : « C'était Anne de Bretagne, duchesse en sabots. Suggestions Du même auteur Louis XI, le roi renard / Didier Le Fur Article SYRACUSE Le Fur, Didier 2009 On disait qu'il ne faisait pas seulement peur aux hommes mais aussi aux arbres ! La propagande des successeurs de Louis XI en fit un tyran sanguinaire à l'opposé de Louis XII. Jusqu'à ce que la république le sorte du purgatoire. Le royaume de France en 1500 / Didier Le Fur Livre Le Fur, Didier. Auteur 2010 Une autre histoire de la Renaissance / Didier... Livre Le Fur, Didier. Auteur 2018 Au-delà d'une Renaissance fabriquée a posteriori pour légitimer le passage à la modernité, l'auteur montre que cette période ne visait pas tant à inventer un monde nouveau qu'à rétablir une splendeur passée, un âge d'or où les hom... Louis XII un autre César / Didier Le Fur Livre Le Fur, Didier. Auteur 2001 Réhabilitation du monarque qui sut élargir l'horizon capétien et qui eut pour contemporains Anne de Bretagne, Marie Tudor, Henri VIII, Isabelle la Catholique et les Borgia. Du même sujet La Duchesse en sabots / Olivier Thomas Article SYRACUSE Thomas, Olivier 2010 Anne de Bretagne parlait-elle vraiment grec et breton ? La duchesse est l'objet d'une enquête serrée de Pierre-François Lebrun. Anne de Bretagne, deux fois reine / Catherine... Article SYRACUSE Loizeau, Catherine 2019 En 1489, Anne devient duchesse de Bretagne à l'âge de 11 ans. Son duché est très convoité par le royaume de France et Anne sera obligée d'épouser deux rois ! Anne de Bretagne / Georges Minois Livre Minois, Georges 1946-..... Auteur 1999 Un portrait, loin de l'image de la bonne duchesse, qui met en évidence une femme souvent humiliée mais deux fois reines épouse de Charles VIII puis de Louis XII et qui put satisfaire son goût du pouvoir en administrant la Bretag... Anne de Bretagne et les femmes remarquables /... Article SYRACUSE Cornette, Joël 1949-.... 2008 Composé pour Anne de Bretagne au début du XVIe siècle, les "Vies des femmes célèbres" est un véritable trésor de l'enluminure. Et dévoile une part de l'imaginaire féminin à l'aube de la Renaissance. Le coeur d'Anne de Bretagne [exposition, Ch... Livre 2014 Anne, pas si Bretonne / Bruno Calvès Article SYRACUSE Calves, Bruno 2014 Il y a cinq cents ans mourait Anne de Bretagne. De multiples commémorations rappellent la reine - aux dépens de la duchesse. Chargement des enrichissements... Bref à travers une révolte localisée, c’est une approche des dernières années de tutelle de Mazarin sur Louis XIV et de règne personnel du Roi-soleil qui sont offertes. Dans notre titre, on verra une allusion à la chanson C’était Anne de Bretagne, duchesse en sabots. Pour tous publics Aucune illustration.

Anne n'a que onze ans lorsqu'elle devient duchesse de Bretagne, à la mort de son père, en 1488. Tandis que la cour intrigue pour marier la jeune fille, la Bretagne est menacée par le roi de France. Refusant de se soumettre, Anne engage ses troupes, mais trahisons, défaites militaires et manque d'argent conduisent la jeune fille à accepter une union avec le roi de France. Biographie de Catherine de Lasa Après des études de littérature classique, et tout en élevant ses six enfants, Catherine de Lasa collabore à divers magazines pour la jeunesse Pomme d'Api, J'aime Lire.... Elle est également auteur de romans pour la jeunesse. Dans la collection Mon Histoire, elle a publié Sissi et Catherine de Médicis. " "C'était Anne de Bretagne, duchesse en sabots..." Depuis la chanson de mon enfance, et la pâtisserie de Caen À la bonne duchesse, où m'emmenait ma grand-mère, ce personnage n'a jamais cessé de m'intriguer. Qui était cette petite Bretonne têtue, dont tant de lieux revendiquent le parrainage ? Pour chercher sa trace, il me fallait vagabonder dans les rues de Rennes, rêver dans l'allée des Catherinettes au jardin du Thabor, et contempler le tableau de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle à l'église Saint-Aubin. À Vannes, à Guérande, à Redon, j'ai interrogé des érudits passionnés. J'ai surpris ici ou là, dans un prénom, un lieu-dit, un motif décoratif, la trace des liens de la Bretagne avec l'Espagne, dont Anne était très proche. Anne reste un personnage décrié ou adulé, mais toujours passionnant."

Quelplaisir, jadis, de glisser avec des sabots non ferrés. Qui ne se souvient avec quelque nostalgie des sabots que l'on chaussait autrefois ? Chaussures du pauvre disait-on, pourtant on chante encore « c'était Anne de Bretagne, duchesse en sabots » Qu'importe après tout, elles étaient devenues idéales pour les écoliers pendant l

Mont Saint Michel. Dimanche, il y avait un marché aux puces – Brocante – à Avranches. Nous n’y sommes pas allés à cause du temps – ce n’était pas très engageant – et parce que nous ne voulions pas soumettre nos chiens à ce fourmillement de jambes. Au lieu de cela, nous sommes retournés sur la côte, cette fois-ci un peu plus loin que les Courtils, à Saint-Jean-le-Thomas, une large baie avec une plage d’un côté et des rochers de l’autre. Les chiens sont censés être tenus en laisse, mais presque tous les propriétaires de chiens laissent leurs chiens courir librement – à part 3-4 personnes, personne ne voulait aller dans l’eau ou rester sur la plage, il faisait trop froid. Photo E. Haase Nos chiens ont apprécié, surtout Yoko, qui adore l’eau Muck ne fait que boire, puis il aime se tenir debout jusqu’au ventre dans l’eau. Les règles concernant l’obligation de tenir les chiens en laisse ou l’autorisation de les laisser sur la plage sont réglementées par chaque municipalité, ce qui implique de lire attentivement tous les panneaux à chaque fois pour savoir ce qui est autorisé. Lundi, nous avons fait un voyage à Dinan – et nous sommes ravis ! Une belle ville avec de nombreuses vieilles maisons à colombages, un château, des murs de forteresse, des remparts de 2,7 km de long et, malgré les nombreux touristes, une ville où l’on aimerait vivre. Nous nous promenons dans la zone piétonne relativement courte, avec de nombreuses petites boutiques, et bien sûr beaucoup de souvenirs, par exemple du caramel au beurre salé, des galettes, du far breton, des tasses bretonnes et des Bols un bol spécialement pour le café au lait du matin, etc. Il bruine de temps en temps, mais cela ne nous dérange guère, c’est juste amusant de se promener dans les rues de cette ville. Photo E. Haase Nous descendons une rue plus petite – nous ne savions pas que Dinan est sur une colline… nous ne nous en rendons compte que plus tard, lorsque nous arrivons au port après avoir marché prudemment sur les pavés rugueux, c’est-à-dire qu’il ne s’agit pas de pavés, mais de pierres au moins deux fois plus grosses, réparties irrégulièrement dans la rue en pente. Photo E. Haase À chaque virage, nous espérons être en bas – où que ce soit – mais ça continue et nous espérons être en bas – où que ce soit – mais ça continue et ça continue et ça continue. Enfin, enfin, nous avons passé la rue du Jerzual et nous sommes au port de Dinan, sur la Rance. Photo E. Haase Beaucoup de voiliers, dont de nombreux gros bateaux, des cafés et des restaurants sur le bord de la route, une atmosphère agréable. Photo E. Haase Nous n’avons pas trop envie de remonter la même route, car il faut faire attention à ne pas trébucher. Quelques mètres plus loin, à côté du viaduc, nous trouvons un sentier en serpentin qui monte la pente, également difficile, mais plus facile à gérer que la rue du Jerzual – certes belle – avec ses nombreuses petites boutiques d’artisanat. – Puis la pluie devient plus forte et nous prenons le chemin du retour. Avec un détour par Combourg. Une petite ville avec un grand château. Intéressant. J’ai lu plus tard que le père de Chateaubriand, le comte René Auguste de Chateaubriand, avait acheté ce château en 1761. Le poète lui-même n’a pas gardé un bon souvenir de son séjour à Combourg, notamment le fantôme d’un chat noir qui l’effrayait Il pleut et il pleut et il pleut. On reste dans l’appartement et on lit. Le soir, nous allons de nouveau à Avranches au restaurant Chez Wiwi ; sur la courte marche qui nous ramène ensuite à la voiture, nous sommes tous les quatre trempés. Le mardi est le jour des courses ; bien sûr, nous achetons quelque chose pour le soir chez le traiteur. Nous jetons un coup d’œil à quelques rues que nous ne connaissons pas encore. Et soudain, nous sommes à l’ancienne forteresse. Avec un beau petit jardin dans le style du Moyen Âge. Un musée moderne a été aménagé dans l’ancien complexe château/défense de la place d’Estouteville. On y conserve et on y expose en partie des manuscrits et des gravures anciennes qui ont été donnés à la ville d’Avranches par l’abbaye du Mont-Saint-Michel en vertu d’un décret de l’administration révolutionnaire de 1791 et qui, unis à d’autres manuscrits déjà présents et apportés ici par d’autres églises environnantes à cette époque, ont formé l’une des plus importantes bibliothèques de manuscrits de France ». Pendant la deuxième guerre mondiale, la ville a été fortement bombardée. Ce n’est que le que la percée d’Avranches réussit en fait l’opération Cobra ; Dans certains endroits, l’événement est également appelé la percée d’Avranches, bien que la percée ait en fait eu lieu à Saint-Lô Photo E. Haase Nous allons à St. Quentin-sur-le-Homme, il est censé y avoir un restaurant là-bas. Voyons voir quel genre d’impression ça donne. Il a l’air bien et le menu aussi. Avant de décider où manger pour notre dernière soirée à Juilley, nous nous rendons à Ducey. Il est censé y avoir trois ou quatre restaurants là-bas. Il y en a, mais ils ressemblent plus à des snack-bars ou à des friteries. Donc Ducey est annulé. Mais c’était le marché, les derniers étals sont vidés, à l’exception de deux charrettes, l’une avec des fish and chips » – plutôt inhabituels, l’autre avec des crêpes et des galettes. Nous nous décidons pour une galette au fromage. Les galettes bretonnes sont fabriquées avec de la farine de sarrasin et sont généralement consommées salées avec du fromage, du jambon, des saucisses, etc. Notre galette est délicieuse ! Notre galette est délicieuse ! Mercredi, s’il ne pleut pas le matin, nous voulons aller à Dinan à nouveau, simplement parce que nous l’avons tellement aimé. Nous avons de la chance, il ne pleut pas et Dinan est encore plus beau que la première fois. Et tellement imprégné d’histoire. Je dois avouer que je connais très peu l’histoire de la Bretagne ou de la Normandie ; le nom de la Duchesse Anne – la Duchesse Anne de Bretagne – m’était familier, je l’ai vue ici à plusieurs reprises. Je me souviens de la chanson C’était Anne de Bretagne, duchesse en sabots » et j’ai lu ce qu’elle représentait Cette belle image de noble paysanne, fière de sa terre et de sa culture, n’est pourtant qu’une légende. En réalité, par ses deux mariages successifs avec les rois de France Charles VIII et Louis XII, Anne amena bien le rattachement de la Bretagne à la couronne. Elle n’était pas seulement duchesse de Bretagne, mais aussi reine de France, de Sicile et de Jérusalem par mariage. Elle a reçu une éducation en latin, grec, français, breton et hébreu – tout le respect ! Et elle a eu une vie assez mouvementée, je pense. Il est intéressant de lire, par exemple, sur Et Dinan, une des villes les plus photographiées de France, 3 km de remparts, de nombreuses maisons à colombages, fut la ville où Anne de Bretagne se retira après la mort de son mari, le roi Charles VIII. De belles photos, par exemple Dinan mérite une visite, de préférence sans pluie, bien sûr. Avant de partir, nous achetons quelques pâtisseries bretonnes, de la crème caramel au beurre salé et 2 artichauts épais, et ils nous préparent gentiment une vinaigrette car nous, pauvres touristes, n’avons rien à la maison. Nous rentrons à la maison ; une fois de plus, je remarque qu’il y a beaucoup de panneaux indiquant Dol de Bretagne. Hm, jamais entendu parler de ça, alors je me renseigne Dol était l’ancienne capitale de la Bretagne ». Fondée au milieu du IXe siècle par saint Samson en breton Sant Samzun a Zol, l’un des sept évêchés fondateurs de la Bretagne, elle a été le siège d’un archevêché jusqu’à la Révolution française et, par conséquent, la destination du Tro-Breizh, l’un des plus importants pèlerinages médiévaux, jusqu’au XVIe siècle. … La famille FitzAlan fils d’Alain, originaire de Dol, a émigré en Angleterre au début du XIIe siècle, où elle a reçu le titre de comte d’Arundel par héritage en 1291, puis en Écosse, où elle a acquis la fonction héréditaire de Lord High Steward dès avant 1150 et est montée sur le trône royal écossais à partir de 1371 sous le nom de Maison des Stuart ; en 1603, les Stuart sont également devenus rois d’Angleterre et d’Irlande ; ils ont régné sur la Grande-Bretagne avec une interruption jusqu’en 1714. » Et cette page Wikipedia montre aussi le Menhir du Champ Dolent, un menhir qu’Obélix n’aurait eu aucun problème à soulever… – Encore une leçon apprise. Le soir, nous mangeons nos artichauts avec grand plaisir, accompagnés d’un verre ou deux ou trois de vin de la boîte de 5 5-Liter-Box. Notre dernier jour à Juilley – nous voulons visiter le musée de Bayeux sur le chemin du retour. Nous nous promenons avec Yoko et Muck, mangeons les derniers morceaux de fromage au petit-déjeuner, descendons les lits, rangeons, emballons. Et décider de visiter un ou deux endroits proches que nous ne connaissons pas. Nous nous rendons à Fougères, à environ 40 km au sud de notre gîte. Et nous sommes ravis ! Pas immédiatement à l’arrivée, car il pleut très fort. Nous attendons autour d’un café crème qu’il soit à nouveau sec. Le village est sur une colline, nous voyons une rangée de vieilles maisons, assez jolies, mais pas très impressionnantes. Mais un Jardin public nous plaît beaucoup. D’ailleurs, il y a beaucoup de fougères différentes plantées au même endroit – la fougère = the fern. Photo E. Haase Nous avons une bonne vue sur la vallée et le complexe du château sur la colline opposée. Un château géant ! Nous traversons le magnifique jardin jusqu’à la plaine, puis nous arrivons dans une sorte de village autour du complexe du château. Fougères appartient au département d’Ille-et-Villaine, l’un des quatre départements bretons, et était une forteresse frontalière avec la France. Photo E. Haase Dernier rangement et ensuite nous voulons terminer notre séjour avec un bon dîner. Nous nous rendons à Saint-Quentin-sur-le-Homme, à environ 10 km, où nous mangeons au restaurant Le Gué du Holme – cadre noble, service très agréable et attentionné et excellente cuisine – une bonne fin de vacances. Photo E. Haase Le lendemain, Marion range très habilement nos bagages, qui ont miraculeusement augmenté. Dernier entretien avec M. Maillet et puis nous partons – d’abord à la prochaine étape Bayeux, environ 100 km, nous voulons voir surtout la tapisserie de 70 m de long et 50 cm de haut la représentation de la conquête de l’Angleterre par le normand Guillaume le Conquérant, terminée par la bataille d’Hastings en 1066. Un audioguide individuel explique chacune des scènes individuelles. Très, très impressionnant ! Nous jetons un coup d’œil à la cathédrale – un chef-d’œuvre de l’architecture romane et gothique. Et marcher un peu dans la aimons Bayeux. Et un parking sans ticket le numéro de la plaque d’immatriculation est enregistré électroniquement, le montant indiqué est payé en espèces ou par carte bancaire/crédit en saisissant le numéro de la plaque d’immatriculation. Très rapide, très simple… Photo E. Haase Nous passons la nuit à Rouen, nous avons un hôtel non loin de la vieille ville avec un garage fermant à clé – on nous avertit de ne rien laisser dans la voiture si nous la garons dans la rue. Et puis nous entrons dans le centre et sommes complètement ravis bien que Rouen ait également été bombardée pendant la 2ème guerre mondiale, 2000 maisons médiévales à colombages ont été préservées. La vieille ville est tout simplement magnifique, c’est une soirée douce, les tables des bars et restaurants à l’extérieur sont pleines, une ambiance lumineuse merveilleuse, seule la serveuse porte un masque… La vie est belle ! Photo E. Haase Avant de partir, nous emmenons nos chiens faire une petite promenade le long du quai de la Seine. De grands panneaux avec des informations sur Rouen, à un moment donné un panneau plus petit avec une réplique d’une peinture de Camille Pissarro Sur la Seine à Rouen ». Photo E. Haase Pour le samedi, nous avions prévu de visiter Mons et Le Grand Hornu, en Belgique. Nous abandonnons – il pleut, il pleut à verse sans s’arrêter. Nous nous rendons à notre hébergement à Corroy-le-Château, au Au trou perdu » nous avons réservé une chambre d’hôte. Nous sommes déjà attendus, nos bagages sont portés jusqu’au 1er étage, où nous passons la nuit. Pas seulement un B & B, non, un appartement – une grande chambre avec un très grand lit double et une télévision, une pièce avec un canapé et un fauteuil et une deuxième télévision et une grande salle de bains. Des serviettes de toilette et de douche à profusion, du shampoing, du savon, des bonnets de douche, etc. Nos hôtes proposent de s’occuper de nos chiens si nous ne pouvons pas les emmener au restaurant. Restaurant – pas si facile, il n’y en a pas dans la petite ville de Corroy-le-Château, nous téléphonons à plusieurs – samedi soir, tout est réservé. Nous réussissons enfin à réserver une table au restaurant chinois Dynasty à Gembloux. En fait, les chiens ne sont pas acceptés, mais si on ne les voit pas et s’ils n’aboient pas, on peut les amener. Un restaurant agréable, non comparable aux autres restaurants chinois. Et une nourriture excellente ! Photo E. Haase Nous les remercions pour ce séjour d’une beauté inattendue et prenons le chemin du retour. En raison du temps pluvieux, pas de visite à Namur, par exemple la citadelle, une des plus grandes fortifications du monde. Et qu’est-ce que j’ai oublié de mentionner nous avons traversé un grand nombre de villages bien entretenus qui témoignent d’une certaine prospérité ; nous avons vu des murs de cimetières décorés de bacs à fleurs ; nous avons été agacés parce que Marion ne pouvait pas charger sa voiture e-hybride la fiche n’entrait dans aucune des trois prises différentes ; nous avons goûté une fois à un riz au lait, qui – sous différentes variantes – est évidemment l’un des desserts traditionnels ; nous avons regretté de ne pas avoir pu emporter de poisson frais, de crabes ou de moules ; nous avons mangé des côtes d’agneau, malheureusement pas de l’agneau pré-salé, mais nous avons vu les agneaux, le Mont St. Nous avons vu les panneaux indiquant les nombreux cimetières militaires, mais nous n’en avons visité aucun ; M. M. nous a donné un gros sac de noix de son noyer – il ne supporte pas ces noix ; et il continue à construire son manoir il y aura un autre logement de vacances pour 8 personnes maximum à un moment donné, pour le moment il y a toujours une BMW de 10 ans sous une bâche, qu’il utilise seulement pour les voyages importants . Et maintenant il ne me vient plus rien à l’esprit !

Enfamille. Très agréable visite, entre reconstitutions variées et à l’allure authentique, salle de jeux divertissante, expositions de machines agricoles, démonstration de fabrication de sabots et dégustation de cidre. C’est un joli voyage dans le temps que nous propose cet écomusée, avec des explications et indications utiles.
C’était Anne de Bretagne, duchesse en sabots bis Revenant de ses domaines en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Revenant de ses domaines, duchesse en sabots bis Entourée de châtelaines en sabots mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Entourée de châtelaines, duchesse en sabots bis Voilà qu’aux portes de Rennes en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Voilà qu’aux portes de Rennes, duchesse en sabots bis L’on vit trois beaux capitaines en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !L’on vit trois beaux capitaines, duchesse en sabots bis Offrir à leur souveraine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Offrir à leur souveraine, duchesse en sabots bis Un joli pied de verveine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Un joli pied de verveine, duchesse en sabots bis S’il fleurit, tu seras reine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !S’il fleurit tu seras reine, duchesse en sabots bis Elle a fleuri la verveine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Elle a fleuri la verveine, duchesse en sabots bis Anne de Bretagn’ fut reine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Anne de Bretagn’ fut reine, duchesse en sabots bis Les bretons sont dans la peine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Les bretons sont dans la peine, duchesse en sabots bis Ils n’ont plus de souveraine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !

Annede Bretagne, l'héritage impossible [24800] 2009 | Lebrun Pierre-François; Film professionnel | Bretagne "C’était Anne de Bretagne, duchesse en sabots". Ce refrain résume le souvenir que nous avons gardé de la Bonne Duchesse. Une princesse populaire, proche de sa terre et fière de sa culture, qui

Le printemps avait eu, cette année-là, une douceur si déchirante que les Français, longtemps, n’avaient pas voulu y croire. Le gouvernement avait multiplié les déclarations rassurantes, proclamé sur... 8. La mort aux trousses Par Laurent-Henri Vignaud 16. L’invention du populisme Par Jean-Louis Thiériot 18. Comment peut-on être ottoman ? Entretien avec Nicolas Vatin, propos recueillis par Geoffroy... PAR LAURENT-HENRI VIGNAUD Il y a deux façons d’appréhender le danger épidémique. La première, la plus évidente, est de déterminer en quelle proportion la maladie tue ou rend gravement malade. En... Populisme, le mot qui tue, le mot qui déconsidère l’adversaire en l’excluant du club des raisonnables. Que Viktor Orbán veuille protéger les frontières de la Hongrie populisme ! Que Donald Trump... PROPOS RECUEILLIS PAR GEOFFROY CAILLET Quels sont ces textes qui dessinent en creux le portrait d’un homo ottomanicus ? Il s’agit de textes de tous ordres textes administratifs, lettres privées,... 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Mais à l’évidence, dès cette époque, il... PAR JEAN-ROBERT GORCE Le 17 mai 1940, dans la petite bourgade ardennaise de Montcornet, la 4e division cuirassée du colonel De Gaulle attaque le flanc gauche des troupes blindées allemandes qui... PAR JEAN-PAUL COINTETDeux mois après le début de l’offensive allemande du 10 mai 1940, qui se solda par la débâcle militaire, l’exode de millions de personnes et un armistice coupant la France en... Agrégé d’histoire, professeur, courageux soldat de la Grande Guerre, il est élu député radical du Vaucluse de 1919 à 1940 sans interruption. Ministre à dix-huit reprises de 1924 à 1940, il occupe... Diplômé d’HEC, avocat, élu en 1919 député des Basses-Alpes, puis de Paris de 1928 à 1940, ce centriste qui penche vers la droite, familier des milieux d’affaires, se spécialise dans deux domaines ... Avec lui, tout est compliqué et contradictoire, sauf sa volonté de servir le roi, l’Empire britannique et le Commonwealth. En outre, son verbe et ses écrits, qu’il manie à la perfection, sont parfois... Pur produit de l’école de la République, il choisit le 1er régiment de tirailleurs à Alger à sa sortie de Saint-Cyr et se distingue notamment en parcourant, seul, 200 km à pied en plein Sahara pour... Le 12 juin 1940, à Saint-Valery-en-Caux, le général Paul Vauthier est fait prisonnier et il passera le reste de la guerre à la forteresse de Königstein Saxe. Triste destin pour ce précurseur génial... A sa sortie de Saint-Cyr en 1900, il choisit l’infanterie coloniale où se déroule l’essentiel de sa carrière jusqu’en 1938. Diplômé de l’Ecole supérieure de guerre, il participe à la Grande Guerre... Né dans une famille bourgeoise, catholique, il choisit l’infanterie à sa sortie de Saint-Cyr et participe, comme capitaine, à la Grande Guerre. Fait prisonnier en mars 1916, il passe le reste de la... Le 20 mai 1940, les rivières susceptibles de barrer la route de l’invasion sont mises en état de défense. A l’Ecole militaire d’application de la cavalerie et du train de Saumur revient un secteur de... Ils sont trois, tous prussiens, tous nés dans des familles de militaires depuis des générations, tous formés dans des écoles de cadets, tous combattants de la Grande Guerre. Gerd von Rundstedt est le... Fils d’un aubergiste de Châteldon, dans le Puy-de-Dôme, socialiste révolutionnaire, avocat des pauvres » et des organisations syndicales, député pacifiste en 1914, il s’éloigne peu à peu du monde... Au printemps 1940, des deux maréchaux survivants, avec Franchet d’Espèrey, de la Grande Guerre, Pétain est le plus populaire, le plus humain, le plus républicain. Les anciens combattants... C’est un panorama détaillé de ce sombre mois - dans le droit fil de son très remarquable ouvrage consacré aux combats oubliés » La Fin de la campagne de France, Economica, 2010 - que présente... Ancien chef du corps expéditionnaire à Suez, théoricien de la guerre révolutionnaire et de la guerre nucléaire, ami de Liddell Hart, André Beaufre fut l’une des étoiles de la pensée stratégique... Si vous ne devez lire, sur le sujet, qu’un livre, lisez celui-là. En trente chapitres, Rémy Porte y fait le tour des interrogations que suscite légitimement la défaite. Le haut commandement... Le livre impressionne par la variété des connaissances, la qualité de la langue, l’amplitude du champ de vision. Ancien combattant de la France libre, Jean-Louis Crémieux-Brilhac a consacré neuf... C’est l’un des généraux les plus décriés des deux guerres mondiales. Repéré par Joffre, placé par celui-ci auprès de Foch, avec lequel il formera un très efficace duo, Maxime Weygand 1867-1965... Remarquablement doué au point de vue physique et intellectuel. … Excellent et parfait en tous points. » Telle est l’appréciation qu’il reçoit à sa sortie de l’Ecole supérieure de guerre. André... La destinée d’un génie peut être tragique. C’est de bout en bout le cas de celle du général Paul Vauthier 1885-1979 que Max Schiavon retrace dans cette biographie qui déstabilise bien des idées... Capturé en 1916, De Gaulle n’avait pu briller sur les champs de bataille. Homme de relations, introduit très tôt dans les coulisses de la vie politique, il s’était surtout fait connaître entre-deux-... Ce soldat saigna à blanc l’armée française. A la tête de ses Panzers, Guderian fut le fer de lance de l’armée de Hitler pendant les campagnes de Pologne, de France et de Russie. Publiés en 1950, ses... Publiés pour la première fois, les carnets du général Huntziger 1880-1941 permettent de mieux saisir la complexité de la situation pour les responsables politiques et militaires français au début... Cinq hommes dans un char. Cinq Français, jeunes et moins jeunes, venus des quatre coins de France et de milieux divers, serrés dans un B1bis de 32 tonnes lancé dans la bataille de France en cette... Depuis Herbert Lottman jusqu’à Bénédicte Vergez-Chaignon en passant par Marc Ferro et quelques autres, l’image de Pétain ne cesse de se noircir au fil des biographies qui lui sont consacrées. Au... En septembre 1939, le général Georges déplore que la France se lance dans une telle aventure pour la Pologne ». Sentiment partagé par Vuillemin qui commande l’armée de l’air. Or depuis l’année... Considéré comme le type même de l’officier prussien, Gerd von Rundstedt 1875-1953 fut l’un des plus célèbres généraux de Hitler. Il commanda en Pologne, en France puis en Russie avant d’être retiré... PAR GEOFFROY CAILLETCentré sur l’appel du 18 juin et sur la vie de famille du fondateur de la France libre, le premier film consacré à De Gaulle se tire inégalement du sujet. Alors que dix-huit films... PAR FRANÇOIS-JOSEPH AMBROSELLIAlors qu’elle paraissait inéluctable depuis l’accession de Hitler au pouvoir, la guerre qui éclate en septembre 1939 semble prendre de court la France qui, après huit... PAR FRANÇOIS-JOSEPH AMBROSELLIPAR FRANÇOIS-JOSEPH AMBROSELLILudwig van Beethoven vécut trente-cinq ans à Vienne. La capitale autrichienne conserve les traces de son passage. Il fut l’enfant chéri de... PAR MARIE-LAURE CASTELNAUJoyau de l’Art nouveau, classée Monument historique et Maison des illustres, la villa Majorelle à Nancy vient de rouvrir ses portes après quatre ans de travaux. Une maison... PAR GEOFFROY CAILLETAbritée par de nouvelles vitrines dans une galerie d’Apollon restaurée, la fascinante collection des Diamants de la Couronne brille à nouveau de tous ses feux au musée du Louvre.... PAR SOPHIE HUMANNRemontant le temps de la cité royale, d’ingénieux et gracieux trompe-l’œil habillent les murs et le mobilier urbain de Versailles. La trottinette s’est arrêtée net au milieu du...
ANNEDE BRETAGNE, DUCHESSE INSOUMISE 1488-1491: LASA,CATHERINE DE: 9782070631155: Books - Amazon.ca. Skip to main content.ca. Hello Select your address Books Hello, Sign in. Account & Lists Returns & Orders. Cart All. Best Sellers Deals Store New Releases Gift Ideas Prime Customer Service DECIDEMMENT, C'EST FOU COMME LE TEMPS PASCAL INSPIRE LA POPULATION AUDACIEUSE ET COURAGEUSE DES CLOWNS TRISTES MEDIATIQUES Après le dimanche de la Résurrection du Christ où le pétomane de groodt étalait ce qu'ils appellent son talent, Anal + récidivait lundi soir, 28 avril avec Yann Barthès dans le rôle du découvreur des passages hilarants de la liturgie catholique, même du Vendredi Saint. La bassesse grasseyante du triste faquin fait pitié. Ce ne doit pas être drôle de vivre avec ces flatulences cérébrales ! A quand les reportages désopilants sur la prière dans la rue, sous le regard envieux de Bertrand Dudesclin ? Ou d'autres thèmes. En février 1791, les morbihannais révoltés par la persécution contre leur évêque se préparaient à attaquer Vannes. Le clergé les dissuadait. Maintenant ce n'est même plus à l'évêque que l'on s'en prend mais carrément à Dieu, à son Fils, à la Vierge, au Vendredi Saint, au Pape. Charles-Henri d'Estaing n'était pas destiné à la Marine. Officier d'Infanterie, ce sont les circonstances de l'époque qui en ont fait un officier de marine. Pour lui les vaisseaux étaient uniquement conçus pour transporter des fantassins. Il n'avait pas du tout la conception que des vaisseaux puissent être des armes de guerre comme le sont des armes portées par des soldats. Marin par obligation ses exploits ne furent pas maritimes. S'il eut une activité plutôt glorieuse dans les mers orientales et aux Indes orientales, lors de la "Guerre aux Amériques" il oscilla entre victoires et demi-défaites ; mais que celui qui n'a jamais perdu lui lance le premier boulet. Il a eu le mérite d'être un combattant alors qu'à l'époque, certain célébrissime fut surtout un combattant de lit ! Au début de la révolution-déconstruction de la France, il eut une attitude assez ambigüe et équivoque lors des journées des 5 et 6 octobre 1789, alors qu'il dirigeait la Garde Nationale de Versailles - garde constitutionnelle censée protéger le Roi - il ne s'est guère engagé pour empêcher la basse populace appelé maintenant Peuple de la Liberté ! d'envahir le palais. Il ne s'est pas opposé, avec ses Gardes, à l'invasion dont la finalité était d'obliger la Famille Royale à quitter le palais pour devenir otage aux Tuileries. Le nom du commanditaire de ces deux journées serait Philippe d'Orléans, futur Egalité. Charles Henri d'Estaing participe à la Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, sous l'uniforme des Gardes nationales. Il désapprouve l'évasion de Louis XVI et de la Famille royale stoppée à Varennes. Il prête le Serment civique à la Constitution. Il brigue la dignité de Maréchal de France mais n'obtient que sa nomination au grade d'Amiral en janvier 1793. Cité comme témoin de la défense lors du "procès" de Marie-Antoinette, il s'égare dans le récit des journées d'octobre 1789 à Versailles. Il est arrêté et incarcéré le 26 novembre 1793, inculpé et jugé le 24 mars 1794 pour complicité de conspiration contre la république, transféré à La Conciergerie le 27 avril, jugé par le Tribunal révolutionnaire le 28, condamné et exécuté en suivant, à l'âge de 64 ans et demi. Sept condamnés l'accompagnent. Il est innhumé au cimetière de La Madeleine le cimetière de la Place de la révolution ; ce cimetière étant désaffecté en 1844-1859, ses ossements reposent depuis dans les Catacombes. Charles-Henri était né le 24 novembre 1729 au château de Ravel dans le Puy de Dôme. Le château d'Estaing, en Aveyron, était sa propriété depuis 1729. N'ayant pas de descendance il avait donné le titre d'héritière à sa demi-soeur, enfant illégitime de son père et de Magdeleine de Mirfond Lucie-Madeleine d'Estaing. Charles-Henri, comte d'Estaing a été guillotiné à cause de ce qu'il était, sur ordre de la Convention. Divers épisodes de succession amènent le château d'Estaing dans la propriété d'une Congrégation de religieuses qui, en 2000 décident de le vendre. Deux acheteurs se sont déjà présentés ; les religieuses les ont récusés pourquoi ? la loi sur l'avortement ou les glissades de la moralité sous le règne d'un des candidats à l'achat ? et préfèrent vendre - quasiment à perte - leur bien à la municipalité qui, peu de temps après, accède à la demande des premiers candidats à l'achat. Sans publicité de la part de la municipalité celle-ci signe le contrat de vente aux conditions désirées. En 1922, Edmond Giscard, dit Monsieur Edmond, avait relevé la particule d'Estaing tombée en déhérence le Conseil d'Etat, par son arrêté de janvier 1923 autorisait la famille Giscard, de la bonne bourgeoisie, à reprendre le nom d'Estaing et à l'ajouter à son patronyme. Il semble qu'il y avait eu une autre tentative, avortée celle-là. Celle de 1922 réussit sous le prétexte d'un lointain cousinage avec une dame Lucie-Madeleine Destaing, en un seul mot, qui aurait été une branche bâtarde de la famille d'Estaing ! En réalité il n'y a aucun lien. Cette tentative n'est pas isolée ; qui ne côtoie pas, parfois, de ces pseudo-nobles pour lesquels le raccourci SNOB sans noblesse a été inventé et auxquels manqueront toujours la discrétion, la classe, l'élégance, la culture et la distinction. Et la connaissance de l'origine de leur nom Bretagne, Normandie, Algérie ? En 2005, le fils d'Edmond, Valéry, ancien Président de la république parachevait l'oeuvre du père en rachetant, avec son frère partisan d'un Gouvernement mondial, au prix qu'ils avaient fixé et qui n'était pas celui du marché, le château de l'amiral d'Estaing. Après le nom, la maison la boucle est bouclée ! La curiosité l'Amiral a été tué par la Convention ; le château de l'assassiné a été racheté par un Conventionnel européen !!! Rappelons que le Président de la république, Valéry Giscard Destaing, dès les premiers mois de son élection faisait frapper le drapeau tricolore de l'Elysée d'un faisceau de licteur. Ainsi est nommé le fagot fasces, fascium de triques ou verges entourant une hache et porté par les "gardes du corps" licteurs du dictateur ou magistrat au temps de la république romaine ou république impériale. Ce symbole de la dureté de la loi figurait sur les premières affiches révolutionnaires. Terminons par une note d'humour Dans un de ses sketches, l'excellent humoriste imitateur, Thierry Le Luron, mettait dans la bouche du général-Président, auquel son jeune et fringant Ministre de l'Economie venait proposer le lancement d'un emprunt national qui porterait son nom cette réplique " Emprunt Giscard d'Estaing ? C'est un drôle de nom...d'emprunt " !!! L'abbé Jacques Perbet, 62 ans, réfractaire à la Constitution Civile du clergé, est resté dans son pays de Queyrières et continue son apostolat dans cette région du Puy, son Velay natal. Il se cache depuis des mois ; pour son malheur, arrive un nouveau représentant en mission, un nommé Guyardin. Ce sinistre individu, 36 ans, a été chevalier au baillage de Langres puis a embrassé le sacerdoce. Il deviendra Vicaire général de Langres avant de renier sa prêtrise, de se marier et de se faire élire comme député de la Haute Marne à la Convention. Il votera la mort du Roi. Son premier travail, en Haute Loire est de lancer des battues aux prêtres "La chasse aux loups est bien combinée" proclamera-t-il en guise de "Credo". L'abbé Jacques Perbet, réfugié dans une ferme qu'il quitta en hâte pour ne pas compromettre ses hôtes, tombe dans ses serres ainsi que l'ancien Procureur d'Yssingeau Une trentaine de personnes est destinée à la prison du Puy. Emmenées d'abord au village du Pertuis elles y passent la nuit, l'abbé attaché debout à un lit. L'aubergiste lui a préparé de quoi souper. Ce sera refusé par le garde-chiourme "On fait bien jeûner les cochons avant de les tuer !" L'abbé et son co-détenu ont compris qu'ils n'arriveraient jamais vivants au Puy, lieu prévu pour leur "jugement". Ils passent par Saint Hostien, devant sa petite église qui existe encore, et descendent la route. Des habitants sont là, les regardant passer. L'abbé Perbet reconnaît des visages qui se détournent, cherche à parler mais un homme, sorti de la foule, lui assène un violent coup de massue sur la remontent dans leur fourgon qui est placé en queue de cortège et arrivés au lieu-dit Lachemp, on les fait descendre, dans le virage, en bas du chemin qui était la route en 1794. Huit gardiens laissent s'éloigner le reste du convoi et, là, massacrent les deux prisonniers entravés qui sont achevés à coups de fusil. Un vrai culte va se développer sur le lieu du massacre du prêtre à tel point que le Directoire départemental prescrira la présence de troupes dans les villages aux alentours afin d'empêcher tout rassemblement. Sans grande efficacité. La population ayant "canonisé" son martyr, Confesseur de la Foi. L'abbé Jacques Perbet a été inhumé, après le Concordat, dans l'église de Saint Pierre Eynac. Le lieu de son assassinat est toujours généreusement fleuri ; un ex-voto remercie saint Perbet ! Jeudi 24 avril ou 14 avril ? Cela dépend des chroniqueurs mais la date retenue est souvent celle du 24 avril, dans l'Octave de Pâques, comme 220 ans après. Or le 14 avril n'est pas dans l'Octave de Pâques Peu importe. L'essentiel est dans le dévouement sacerdotal de l'abbé Nicolas Corbillé qui aurait pu déserter la paroisse dont il avait la charge en temps que vicaire. Il aurait pu vivre caché dans son village de La Chapelle des Marais où il était né le 10 mai 1755, en bordure de Brière, au nord de Saint Nazaire en Loire Inférieure, sixième de sept enfants. Le 9 juin 1781 il avait été ordonné prêtre. Il avait déjà desservi la paroisse de Bouvron, avait prêté un Serment à la Constitution civile du clergé, à sa façon, refusé par le District de Savenay dont il dépendait. Son curé l'abbé Siméon François Delamarre ou de Lamarre n'avait pas prêté serment ; âgé, pensant éviter la persécution, il partit pour Nantes mais fut interné dans la prison des Carmélites puis ensuite dans la prison des Petits Capucins enfin sur le vaisseau "La Gloire". Il périt dans la première noyade de Nantes, la nuit du 16 au 17 novembre 1793. L'abbé Corbillé va assurer sa mission sacerdotale. Il chevauche, marche, court la campagne assure son devoir de pasteur sur la paroisse de Bouvron mais aussi à Campbon, Malville, Fay de Bretagne, relâche. Il a plusieurs caches mais ce jour ci il est au "Bas Bezou" en qualité de domestique de la veuve Perrine Guitton, 64 ans, et de sa fille, Marie, 28 ans. Une descente des Bleus, sans aucun doute à la suite d'une dénonciation, entraîne leur interpellation. Les voisins reconnaissent bien les deux femmes et leur domestique. Mais emmenés à Bouvron, à la municipalité, le domestique est reconnu comme l'abbé Corbillé. Attendant leur transfert à Savenay, l'abbé Nicolas Corbillé, lié, prend prétexte d'un besoin naturel à satisfaire pour être détaché. Il en profite pour s'échapper, saute le mur du presbytère mais, à hauteur de la chapelle saint Mathurin disparue et située approximativement à l'emplacement du beau et imposant calvaire, un Bleu l'abat d'un coup de fusil dans le dos et le traîne par les cheveux jusqu'à l'église. Là il est collé le dos au mur de la sacristie ; ses deux protectrices l'encadrent mais lui seul est fusillé. L'abbé est enterré immédiatement au lieu de son exécution ; la veuve Guitton et sa fille sont emmenées au district, à Savenay, puis à Nantes. Elles y disparaîtront, dans une prison les Saintes Claires? le Bon Pasteur ? Mystère. Une chose est sûre elles ne reviendront pas. Attaché à son sacerdoce, bravant tous les dangers pour assister ses paroissiens, nous pouvons décerner à l'abbé Nicolas Corbillé, mort à moins de 39 ans, le titre de Confessseur de la aurait pu vivre caché, peinard, à La Chapelle des Marais, s'exiler en Angleterre ou en Espagne et revenir à la fin des hostilités ; il a préféré son apostolat de terrain. Grâces lui soient rendues. En 1846, la création de la route de Nort sur Erdre à Pont Château entraîne la désaffection du cimetière qui entoure alors l'église de Bouvron. L'abbé Nicolas Corbillé est exhumé. J'ai entendu dire que son corps était intact. Vérité, légende ? Il est maintenant dans l'ossuaire du nouveau cimetière, mêlé à ses paroissiens. La vieille église a été démolie et remplacée par une nouvelle en 1895. La place, sur laquelle elle se dressait et dans laquelle a officié l'abbé Corbillé, porte son nom. En 1994, l'évêque de Nantes, Monseigneur Emile Marcus, a présidé une messe d'hommage à l'abbé Nicolas Corbillé, entouré de nombreux prêtres et d'une très belle assemblée. Dans l'église actuelle, le maître autel de l'ancienne église a été conservé, dans le transept gauche, à gauche de l'orgue. Il porte toujours les initiales entrelacées du saint Patron Saint Sauveur. Trois statues du XVè-XVIè sont aussi le souvenir de l'église démolie. Pensons, avec émotion, que l'abbé Nicolas Corbillé s'est recueilli devant elles. La chapelle saint Roch, sur la route de Blain à Notre Dame des Landes, est toujoiurs là au milieu des chênes séculaires. L'abbé Corbillé y a dit la messe jusqu'à ce qu'elle soit fermée, comme tous les lieux de culte, en novembre 1793, sur ordre de la Convention. Il célébra ensuite dans une petite clairière située en contre-bas à une centaine de mètres. C'était une époque où il fallait prendre d'immenses risques pour mettrre sa foi en pratique. Et pourtant les fidèles étaient présents en très grand nombre. Maintenant ...... L'abbé Nicolas Corbillé fait partie, qu'il me pardonne des "dommages collatéraux" de la révolution. En effet, son nom ne figure même pas dans le registre des décès de l'époque compulsé à la mairie de Bouvron. Je l'ai constaté. N'y figurent pas non plus les noms de ceux tombés les armes à la main ; peut-être parcequ'ils étaient des "Brigands" ? Que leurs noms ne sont pas dignes de figurer sur les registres officiels ? On n'y peut lire, principalement, que les noms de ceux qui sont benoîtement morts dans leur lit. Place de la révolution, actuellement Concorde, ci-devant Louis XV, en ce mardi 22 avril, il y a 220 ans, une famille est décimée au nom de la bienfaisante, moralisatrice, égalisatrice révolution, monstrueuse utopie voltairo-rousseauiste ! Sont morts les cinq Membres de la même famille -Chrétien-Guillaume de Lamoignon de Malesherbes, 72 ans, Botaniste, Membre de l'Académie, deux fois ministre de Louis XVI et son avocat lors de la parodie de son procès. Alors qu'il offrait au Roi ses services pour assurer sa défense, Louis XVI lui avait déclaré "Votre sacrifice est d'autant plus généreux que vous exposez votre vie et que vous ne sauverez pas la mienne". En sortant de l'escalier qui donne sur la cour de Mai où attendait la charrette des condamnés, son pied gauche heurta une pierre et le fit trébucher. Retenons sa phrase, traduisant l'homme de fort caractère " Voilà un sinistre* présage, un Romain, à ma place aurait fait demi-tour" -Jean-Baptiste Auguste de Chateaubriand, 34 ans, ex capitaine au Royal-Cavalerie, ancien conseiller au Parlement de Bretagne, frère aîné de François-René, époux de Aline-Thérèse Le Peletier de Rosanbo -Aline-Thérèse Le Peletier de Rosanbo,23 ans sa femme, petite-fille de Monsieur de Malesherbes, leurs deux enfants, âgés respectivement de quatre et trois ans lors de l'assassinat de leurs parents, seront élevés par Hervé-Louis Clérel de Tocqueville, époux de leur tante Louise-Madeleine Le Peletier de Rosanbo.Fille des suivants, -Louis Le Peletier , marquis de Rosanbo, 47 ans, ancien Conseiller au Parlement de Paris, père de la précédente, -Antoinette-Marguerite Thérèse de Lamoignon de Malesherbes, 38 ans, son épouse, fille de Monsieur de Malesherbes. Mais aussi -Jacques Duval d'Epremesnil, 48 ans, Avocat du Roy, ancien Conseiller au Parlement de Paris, -Isaac René-Guy Le Chapelier, 40 ans, député Breton, avocat à Rennes, fondateur avec Defermon et Lanjuinais du Club breton, qui, s'installant à Paris dans l'ancien couvent des Jacobins, deviendra le Club des Jacobins. On lui doit la suppression des Corporations et autres Compagnonnages, rétablis au XIXème siècle sous le nom de syndicats. On lui doit aussi les lois sur l'abolition des Privilèges Lois privées supprimant "de facto" les lois régissant la Bretagne, son pays natal ; en ce qui concerne cette dernière, la Loi Le Chapelier fut illégale car elle aurait du être soumise aux Etats de Bretagne, souverains dans leurs décisions. Cela a du faire curieux à Jean-Baptiste Auguste de Chateaubriand, royaliste, de se trouver associé, au pied de la guillotine, à un Jacobin révolutionnaire "pur jus" ! *En latin, gauche se dit "sinister" ; lorsque des romains rencontraient un oiseau de mauvais présage venant de leur gauche, ils rebroussaient chemin. Ce mot latin est actuellement, de jour en jour, d'une sinistre actualité. Il n'est pas obligatoire d'avoir l'esprit rétréci pour ne pas apprécier ce genre de gauloiserie belgerie aux jeux de mots faciles. Ce triste clown porte atteinte à la dignité religieuse de deux milliards de chrétiens. Il est choquant et provocateur de la part de cet étron de faire des "jeux de mots" le jour même où les Chrétiens commémorent la Résurrection de Jésus-Christ après les infamies et barbaries du Vendredi Saint. Il ne respecte même pas la Sainte Vierge. Lorsque j'ai vu cet individu, appelé humoriste, et tout son entourage aux rires grasseyants et serves, j'ai été irrité ; finalement il m'a fait pitié. Il caractérise, il exprime toute la veulerie actuelle et vérifiable chaque jour, d'individus dont le système cortical ne constitue qu'un mince vernis qui couvre leur cerveau reptilien les rampants de la pensée ! Va-t-il se risquer au même exercice "humoristiquent courageux" avec les disciples de Mahomet, de Yahvé, de Bouddah ? Chiche ! En ce jour ou nous chantons "Scimus Christum surrexisse" nous savons que le Christ est ressuscité, comme le chantaient les catholiques avant la période affreuse de la révolution anti religieuse, en 1794 le silence empli les églises vides. En ce jour de Pâques 1794 la Terreur bat son exécutions, place de la révolution ancienne place Louis XV, dont les victimes sont d'anciens membres du Parlement royal. Parmi eux, 6 Conseillers au Parlement de Toulouse mais aussi -Jean-Baptiste Gaspard Bochart de Saron, 64 ans, mathématicien et astronome, Président à Mortier*, théoricien du mouvement elliptique de la Terre, -Louis Le Peletier de Rosanbo, 47 ans, Président à Mortier au Parlement de Paris, -Armand Guillaume François de Gourgues, marquis de Vayres Gironde, -Barthélémy Rolland de Chambaudouin d'Erceville, 64 ans, Président à Mortier au Parlement de Paris, -Auguste Louis Zacharie Espiard-Humbert d'Allerey, 62 ans, et Le comte Edouard- François Mathieu Molé, 34 ans, Conseiller au Parlement de Paris, emprisonné et condamné à mort pour la simple raison d'avoir protesté, comme ses collègues Magistrats, contre la suppression du Parlement. Cette institution était garante de la Justice ; elle n'était donc pas dans l'air du temps. Monsieur Molé est neveu de Chrétien Lamoignon de Malesherbes, défenseur de Louis a la réputation d'un homme honnête et charitable. Avec son épouse, Marie-Louise Elisabeth de Lamoignon, ils auront cinq enfants dont deux seulement parviendront à l'âge adulte. Madame Molé est fortement affectée par la perte, la même année, de son mari et de sa fille de quatre frère est fusillé après Quiberon en fois les deux enfants survivants élevés, elle viendra à Vannes en 1803, pour y retrouver celui qui est devenu Monseigneur de Pancemont, évêque de Vannes, le confesseur de sa jeunesse; elle va réaliser sa vocation d'adolescente être religieuse. Elle achète un ancien couvent, qui a servi de prison-mouroir pour les prisonneirs de Quiberon, près du port de Vannes. Elle fonde la Congrégation des Soeurs de la Charité Saint Louis. Elle-même prend le nom de soeur Saint de Pancemont, de la Compagnie de Saint Sulpice et ancien élève de Monsieur Emery - Supérieur Général de ladite Compagnie - la nomme Mère Supérieure de la Congrégation. Elle décède le 4 mars 1825 à l'âge de 62 ans et est inhumée dans la chapelle de la Congrégation. Le Diocèse de Vannes entame la procédure en béatification en 1959. Elle est déclarée Vénérable par le Pape Jean-Paul II en 1986 ; le décret de Béatification est signé par le Pape Benoît XVI en 2011. La cérémonie, sous la présidence du Cardinal Angelo Amato Préfet de la Congrégation pour la cause des saints et délégué par le Pape Benoît XVI et du Cardinal Paul Poupard, s'est déroulée, selon le voeu de Monseigneur Raymond Centène, Evêque de Vannes, sur le port, à proximité de la Maison mère de la Congrégation, devant une formidable assemblée d'évêques, de prêtres et de fidèles, le dimanche 27 mai 2012. a réalisé un excellent reportage de cette cérémonie de béatification. *Magistrat de la plus haute instance de Justice, le distingue sa prééminence sur les autres magistrats par sa coiffe, en forme de mortier. D'où son nom. PLACE DE LA REVOLUTION En ce dimanche des Rameaux 1794, pardon, Roquette 24 Germinal An II, les conflits d'intérêt se soldent encore par son lot de sang répandu aux pieds du dieu révolution. Population contrastée -Marie-Marguerite Hébert, 38 ans, veuve de Hébert du torchon "Le Père Duchesne" guillotiné le 24 mars dernier ; il semble que cette alliance soit le seul motif de condamnation de l'ancienne religieuse. -Lucile Desmoulins, 24 ans, veuve de Camille guillotiné le 5 dernier, impliquée dans la pseudo "Conspiration des Prisons", forgerie de Barère et du Comité de Sûreté Générale. -Arthur de Dillon, 43 ans, authentique noble, renégat, brillant officier général d'infanterie, qui, pour contrer les menées du 1er ministre britannique Willian Pitt, préparait une attaque de l'Angletrerre par le sol irlandais. Ce qu'avait appris Pitt par son espion Somers. Une lettre anglaise "avait été perdue" par cette espion en 1793 et "gardée sous le coude" par Barère. Cette lettre livrait, comme par hasard, plusieurs noms. Leurs porteurs avaient déjà expié leur "faute", tel Danton. Dillon était ami de ce dernier mais aussi du couple incita à l'arrestation de Dillon. L'amalgame fut fait avec la bénédiction de Robespierre ; Sanson trancha ! Le dernier cri d'Arthur de Dillon fut "Vive le Roi". -Philibert Simond, 39 ans, prêtre dont il abandonnera l'état, violent "diatribeur", il commettra l'erreur de s'en prendre à Pitt ; il fut, comme par hasard enfermé dans la prison du Luxembourg et ainsi inclus dans la "forgerie" de Barère la Conspiration des Prisons. Il n'eut, hélas !, pas le temps de dire tout le bien qu'il pensait de Barère. On lui "coupa le clapet". -Pierre-Gaspard Chaumette, 31 ans moins 40 jours, Commune de Paris, Prise des Tuileries, Sans-culotte Montagnard, régicide, accusé d'avoir voulu supprimer toute divinité le dada agnostique de Robespierre, et par là, la révolution. A mort le païen ! -Guillaume Nourry père, dit Grammont, 42 ans, compromis dans la "Conspiration des Prisons", cher à Barère, accusé de conspiration contre la liberté, la sûreté et la souveraineté du Peuple et vouloir rétablir la monarchie !!!, -Alexandre Nourry, dit Grammont, 19 ans, fils du précédent et mêmes accusations. Eclairage sur ces deux là dans La Revue du Souvenir Chouan de Bretagne de décembre 2013 ...parue avec deux mois de retard, nous avons pu lire qu'ils dirigeaient l'escorte emmenant la Reine Marie-Antoinette vers son exécution-assassinat. Ils ouvraient le passage de la charrette tout en excitant la foule contre la Reine de France et en clamant des ordures dont le langage révolutionnaire était particulièrement riche. -Jean-Michel Beysser, 41 ans, ancien officier dans les armées royales puis général des a participé à la défense de Nantes le 29 juin 1793, a été battu par les Vendéens à la bataille de Montaigu en septembre. Cela aurait été le motif de son arrestation. En réalité son sort était scellé avant cette s'était dressé contre la Convention et la tyrannie exercée par le Comité de Salut Public et avait, à Nantes, libéré des opposants. Bref, un dossier chargé de haines et l'esprit vengeur de Barère firent le reste. - Jean-Baptiste Gobel, 67 ans, évêque constitutionnel de Paris, sacré par Talleyrand. Il a, par la suite, abdiqué sa fonction et rejeté sa prêtrise. Ne pouvant être aidé, à la Conciergerie, dans son ultime trajet qui risquait de le mettre en face de son Dieu qu'il avait renié, son ancien Vicaire-général, l'abbé Lothringer, aumônier des prisons, aumônier de la guillotine comme quelques autres courageux prêtres étant absent, il lui adressa sa confession par écrit. Par ce même écrit il rejetait son Serment à la Constitution civile du Clergé et demandait à revenir dans l'Eglise, en pleine et entière obéissance "Mon cher abbé, je suis à la veille de ma mort ; je vous envoie ma confession par écrit. Dans peu de jours je vais expier, par la miséricorde de Dieu, tous mes crimes et mes scandales contre Sa Sainte religion. J'ai toujours applaudi, dans mon coeur, à vos principes. Pardon, cher abbé, si je vous ai enduit en erreur. Je vous prie de ne pas me refuser les derniers secours de votre ministère, en vous transportant à la porte de La Conciergerie, sans vous compromettre, et, à ma sortie, de me donner l'absolution de mes péchés, sans oublier le préambule "ab omni vinculo excommunicationis* ". Adieu, mon cher abbé, priez Dieu pour mon âme à ce qu'elle trouve miséricorde devant Lui, évêque de Lydda." *de tout lien d'excommunication. Jean-Baptiste, Joseph, Gobel, qui avait encouragé, par son exemple, son clergé parisien à prêter le Serment et à abdiquer la prêtrise, en signant cette ultime lettre de confession du titre d'évêque d'un évêché disparu en Palestine évêque in Partibus titre reçu lors de son sacre comme évêque auxiliaire de Bâle, répudiait ainsi le volet parisien et renégat de son sacerdoce. Mais son rejet de son état episcopal et sacerdotal n'avait pas échappé au regard acéré de Robespierre qui vit là un signe d'athéisme....donc un ennemi de sa nouvelle religion....donc une rebellion contre la révolution...donc la mort ! Neuf noms sur une liste de dix huit exécutés ; une journée révolutionnaire dans le droit fil du bonheur à faire connaître. Ahurissant ! Sommations d'usage, comme lors d'une émeute avec prise d'otages, on imagine Fort Chabrol évènement politico-ridicule de 1899 ! Non. Une chouanne face à la meute. Cliquez sur le coin de la photo pour lire la vidéo. Remercions le Ciel que le ridicule ne soit plus mortifère. Heureusement car il aurait fallu agrandir les cimetières depuis une trentaine d'années et plus particulièrement depuis la reprise des Vallseuses. Ce mini film montre que l'esprir frondeur de la Chouannerie est toujours de rigueur et qu'il y a déjà Deux Cent Dix Ans les grands aînés ont suivi le chemin des convictions qui n'est pas du tout aisé. Car il y a exactement 210 ans Georges et ses compagnons sont confrontés à l'arbitraire, déjà, politique. Ils sont emprisonnés au Temple. 2014 est le Cinq Centième anniversaire de la mort de la Duchesse souveraine de Bretagne, Anne de Bretagne, Anne la bretonne, fille de François II et de Marguerite de Foix. La Bretagne organise beaucoup de rencontres et cet article constitue une mise à jour du programme des festivités publié dans La Lettre du Souvenir Chouan de Bretagne de Mars au château de Blois le 9 janvier 1514, dans sa 37ème année, Anne de Bretagne est inhumée en la basilique Saint Denis ; son second mari, Louis XII de France la rejoindra un an plus tard. Son coeur, selon son souhait, sera mis dans un reliquaire et déposé dans le tombeau de ses parents, à reste d'elle une devise "Kentoc'h mervel eget bezan saotret" plutôt la mort que la souillure, le monument qu'elle avait fait réaliser pour accueillir ses parents en la chapelle ducale du couvent des Carmes à Nantes, le reliquaire ayant protégé son cœur jusqu'à 1792 et une couronne de mariée qu'elle a offerte à la paroisse de Trescalan. Au mois de juillet 1505 elle quitte Blois et son mari malade pour une visite dans son duché de sans aucun doute, vers le 20 juillet qu'elle passa à Guérande et offrit une couronne en or, à Saillé une couronne en argent et à Trescalan une couronne en bronze doré. Ces couronnes étaient destinées à être posées sur la tête des de Saint Aubin de Guérande et de Saillé ont disparu à la révolution. Ne subsiste que celle de Trescalan entreposée dans un coffre-fort de la mairie de La Turballe d'où elle a été sortie pour que je puisse la reliquaire d'Anne fut trouvé à côté des cercueils de ses parents lorsque les malfrats révolutionnaires vinrent en 1792 en août-septembre comme à Saint Denis ? vider les tombeaux de leur contenu. Le reliquaire fut vidé du cœur qu'il contenait et envoyé à La Monnaie ou, par miracle, une main le sauva de la fonte. Les ossements furent détruits par le feu, ainsi que ceux de Gilles de Retz et ceux des autres occupants des lieux. Heureusement en février-mars 1792, Mathurin Crucy, architecte nantais, ayant sans aucun doute la prémonition de ce qui allait advenir et pressentant la démolition du couvent des Carmes et de sa chapelle ducale, avait démonté les gisants et leurs quatre gardes et les avait enterrés dans le Jardin des Plantes de l' fois déterrés en 1814, il fallut les laisser dehors de longs mois afin qu'ils soient nettoyés par la gisants furent ensuite installés dans le transept sud de la cathédrale de Nantes en 1817 où l'on peut admirer actuellement le chef d'oeuvre de Michel Colombe, le sculpteur, grâce à Mathurin est possible d'admirer, à la cathédrale du Mans, cette très belle statue d'Anne de Bretagne jouant de l'orgue portatif XVIème siècle.La couronne de Trescalan, inscrite à l'Inventaire général du Patrimoine culturel, est en bronze doré et non en cuivre comme écrit par certains d'une quinzaine de centimètres de diamètre, fin assemblage par 11 charnières de 11 éléments dont six fleurdelysés ce qui explique la disparition de l'objet en 1830 avec Louis-Philippe. Les cabochons ont été mis au XIXème siècle pour remplacer les pierres précieuses disparues. Seules subsistent deux sur 11 dans une poche plastique. Elle est d'un poids très supportable. C'est une pièce très à la chanson "C'était Anne de Bretagne, Duchesse en sabots" il serait peut-être temps de mettre fin à ces sottises, à moins de ramener l'époque aux chars à boeufs mérovingiens alors que la Cour de Bretagne fut riche d'arts et de culture ; encore une manière d'inculturer la Bretagne ; une culture Bécassine ? Nous ne sommes pas encore débarrassés de Michelet, jacobins et consorts. ANIMATIONS -8 avril / 18 mai, Nantes, château des Ducs Autour du reliquaire du coeur d'Anne de Bretagne. -11 avril / 31 décembre, Langeais 37 Château où fut célébré le mariage d'Anne de Bretagne et de Charles VIII Mode, arts, enluminures. -1 mai, Saint Malo Cathédrale, concert "Les funérailles d'Anne de Bretagne". -10 et 11 mai, Vannes Côté jardin Gwened Tu all Liorzh, sous les remparts. -15 juin / 15 septembre, Vannes Dans le cadre majestueux de Chateau-Gaillard, exposition du reliquaire et du Livre d'Heures d'Anne de Bretagne. Production Dihunerien Membre du Souvenir Chouan de Bretagne.Gratuit -20 à 22 juin, Vannes Le Salon littéraire honore Anne de Bretagne. -13 juillet à fin août, Theix Manoir du Plessis-Josso sortie Sulniac-Surzur sur la voie expresse Nantes-Vannes Exposition Anne de Bretagne réalisée par l'Association Identité Bretonne. Gratuit. -13 septembre, Vannes Palais des Arts et des Congrès, création de l'Oratorio "Anne de Bretagne renaissante" composé par Roland Becker, interprété par l'ensemble baroque "Bretagne Armoricaine". Production Dihunerien. -19 septembre, Vannes Palais des Arts et des Congrès, Opéra rock "Anne de Bretagne" d'Alan Simon. Production Dihunerien. Sibien que c’est plutôt une identité par le manque que j’ai cherché à combler à un moment donné en faisant des recherches sur l’histoire de la Bretagne, après m’être rendu compte que l’histoire enseignée sur la période du Duché de Bretagne était pour le moins orientée, déformée comme la célèbre image d’Anne de Bretagne, la Duchesse en sabot, la pauvresse qui
C’était Anne de Bretagne, duchesse en sabots bis Revenant de ses domaines en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Revenant de ses domaines, duchesse en sabots bis Entourée de châtelaines en sabots mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Entourée de châtelaines, duchesse en sabots bis Voilà qu’aux portes de Rennes en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Voilà qu’aux portes de Rennes, duchesse en sabots bis L’on vit trois beaux capitaines en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !L’on vit trois beaux capitaines, duchesse en sabots bis Offrir à leur souveraine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Offrir à leur souveraine, duchesse en sabots bis Un joli pied de verveine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Un joli pied de verveine, duchesse en sabots bis S’il fleurit, tu seras reine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !S’il fleurit tu seras reine, duchesse en sabots bis Elle a fleuri la verveine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Elle a fleuri la verveine, duchesse en sabots bis Anne de Bretagn’ fut reine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Anne de Bretagn’ fut reine, duchesse en sabots bis Les bretons sont dans la peine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois !Les bretons sont dans la peine, duchesse en sabots bis Ils n’ont plus de souveraine en sabots, mirlitontaine, Ah, Ah, Ah ! Vive les sabots de bois ! English translationEnglish Anne of Brittany It was Anne of Brittany, Duchess in wooden shoes. Returning from her domain in her wooden shoes, Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!Returning from her domain, Duchess in wooden shoes With an entourage of Squires, wearing wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!With an entourage of Squires, Duchess in wooden shoes She arrived at the gates of Rennes, wearing wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!She arrived at the gates of Rennes, Duchess in wooden shoes There were three stately captains, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!There were three stately captains, Duchess in wooden shoes Giving to their sovereign qeen, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!Giving to their sovereign qeen, Duchess in wooden shoes A beautiful shrub of verbena, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!A beautiful shrub of verbena, Duchess in wooden shoes If it blooms, you shall be queen, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!If it blooms, you shall be queen, Duchess in wooden shoes And the verbena, it blossomed, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!And the verbena, it blossomed, in wooden shoes And Anne of Brittany became Queen, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!And Anne of Brittany became Queen, Duchess in wooden shoes And the Bretons are in trouble, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes!And the Bretons are in trouble, in wooden shoes They no longer have a Sovereign, in wooden shoes Ah, Ah, Ah! Long live the wooden shoes! Submitted by SaintMark on Tue, 30/01/2018 - 0716
\n \n \n \nc était anne de bretagne duchesse en sabots
Annede Bretagne 27 juillet 2020 @ 15:03 Elle n’a pas l’air malheureuse. Reply . limaya C’était une image.. Reply. Ghislaine-Perry 27 juillet 2020 @ 13:24 Cet arbre est en souffrance – C’est un chêne-liège et devrait être allégé au moins de la moitié de son tronc de ce matelas de liège . Reply. kalistéa 28 juillet 2020 @ 20:10 pas du tout Ghislaine P / cet arbre a
UN DUCHÉ CONVOITÉ Le trône de Bretagne revenait à FRANCOIS II. Le duché jouissait d’une paix bienvenue après la guerre de cent ans entre la France et l’Angleterre et la guerre de succession de Bretagne. Cet affrontement entre Penthièvre et Monfort s’était conclu par la victoire de ces derniers. Le Duc sut en profiter pour créer une université à Nantes, sa capitale. Il encouragea le commerce et l’industrie; il veilla à la fondation d’une imprimerie. En 1461 un personnage peu recommandable hérita du trône de France Louis XI. Il n’admit pas que le duc de Bretagne refusât de lui rendre hommage en tant que vassal. Comme ses prédécesseurs, François II affirmait que le duché n’avait jamais dépendu du royaume de France. Comme le roi, il est duc par la grâce de Dieu». Il fait battre monnaie d’or et d’argent. Il reçoit des ambassadeurs … LA BRETAGNE EST PROSPÈRE Johan de Meshino François II, ne cédant pas aux exigences de Louis XI, celui-ci déclare la guerre à la Bretagne. De 1465 à 1480 Louis XI harcèle le duché, usant de ruses auprès de ses alliés, incitant les nobles bretons à la trahison. François II résiste. En 1480 Louis XI croit racheter aux Penthièvre, par un pacte resté secret, les droits à la couronne ducale. François II cherche des alliances… LOUIS XI meurt. NAISSANCE D’ANNE La régence est assurée par sa digne fille Anne de Beaujeu. Elle profite de querelles entre certains nobles bretons et le duc pour leur faire signer un pacte reconnaissant Charles VIII le dauphin de France comme héritier du trône de Bretagne. En 1487 les Français attaquent de nouveau. Si les grands seigneurs Rohan, Rieux … trahissent leur duc, la petite noblesse, les bourgeois et le peuple le soutiennent. Anne est la fille aînée de François II. Elle est née à Nantes en 1477. Malgré les intrigues de Louis XI puis d’Anne de Beaujeu, Anne est l’héritière du duché. HÉRITAGE un duché en péril ! En 1488 les Français sont boutés » hors de Bretagne. Les grands seigneurs se rallient au duc. Mais la régente ne renonce pas ! Le trésor ducal est à sec. Le duc sacrifie sa fortune personnelle pour lever des troupes qui comptent des Espagnols, des Gascons, des Allemands et des Anglais. Les deux armées s’affrontent à Saint-Aubin-du-Cormier. 6000 morts du côté breton ! L’Angleterre est restée sourde aux demandes de renforts. Il faut obtenir la paix. UNE DURE DÉFAITE Elle est lourde de conséquences Anne de Beaujeu exige que François II rende hommage au dauphin Charles VIII et surtout qu’il ne pourra marier ses filles sans l’assentiment du roi de France. Le traité de Sablé dit Traité du Verger » est signé le 10 AOÛT 1488 François II meurt en septembre, désespéré. Jean de Penguern Par testament il a désigné comme tuteur d’Anne le maréchal de Rieux. Anne a 11 ans Une captation d’héritage Deux semaines après la mort de François II Charles VIII, roi de France, pose un ultimatum il exige la tutelle du duché. Il se réfère à l’accord de 1480. Cet accord s’avère inapplicable et le conseil ducal résiste. La France déclare la guerre à la Bretagne pour laver l’affront». D’un côté une armée puissante de l’autre une enfant et des seigneurs divisés qui profitent de sa jeunesse et de son inexpérience… Il faut marier Anne pour trouver des alliances. UN BEAU PARTI Il ne manque pas de prétendants * Maximilien d’Autriche * L’infant de Castille * Le duc de Buckingham * Le vicomte de Rohan * Le sire d’Albret, présenté par de Rieux ce dernier laid, coléreux et déjà père d’une famille nombreuse. Mais Anne a du caractère elle refuse d’Albret. Ce qui provoque la colère et d’Albret et du maréchal de Rieux. Ils attaquent le château de Nantes pour s’emparer du trésor ducal et mettent à sac les appartements. Avec quelques fidèles dont Montauban qui lui est tout dévoué, Anne se réfugie à Rennes où c’est un triomphe. Elle est couronnée duchesse de Bretagne le 10 Février 1489. La Bretagne est divisée en trois l’armée de la Duchesse, celle des seigneurs devenus traîtres et l’armée du roi de France; chacune combattant les deux autres. La Duchesse dépouillée de ses biens ne doit son salut qu’au peuple et aux villes qui lui procurent leur aide. Les pays étrangers en guerre contre la France lui envoient des troupes et les envahisseurs sont chassés. UN PAYS DÉVASTE Après toutes ces guerres la situation économique du duché n’est guère reluisante. Les soldats soumettent le pays à toutes sortes d’exactions. Malgré sa jeunesse, Anne fait preuve de maturité et administre le duché. Elle punit les pillards et les seigneurs coupables d’abus envers le peuple. Elle s’initie aux finances. En mars 1490 Anne décide de faire le tour de ses états. Elle parle breton, mais aussi français, latin, grec, allemand et anglais que lui enseigne sa gouvernante. Les paysans apprécient sa simplicité lorsqu’elle leur parle breton appris grâce à sa nourrice ou qu’elle chausse des sabots de bois, comme eux, pour affronter la boue des chemins en descendant de sa monture ou de sa litière. Elle est connue comme la … ….Duchesse aux sabots de bois ou Dugez he botou koad , en breton. LES MARIAGES Charles VIII menace à nouveau. Il est temps pour Anne de trouver sinon de choisir un mari. Maximilien d’Autriche il a trente ans, il est cultivé et peut hériter de la couronne impériale. Anne accepte. Mais Maximilien ne fera pas le voyage. C’est un mariage par procuration» ; un ambassadeur le représente à la cérémonie. Il introduit une jambe dénudée dans le lit ducal et en touche la jambe nue de la princesse. Quel affront pour Charles VIII! D’Albret repoussé par la duchesse livre la ville de Nantes au roi et l’armée française envahit le duché excepté Rennes où se trouve Anne. Malgré les demandes de renforts à ses alliés et à son mari » Maximillien personne ne lui vient en aide. Rennes assiégée, connaît la famine. Anne doit signer un traité infâmant. C’est alors que Charles VIII par une étonnante volte-face, demande la petite duchesse en mariage! Anne est choquée ils sont tous les deux mariés, et, ironie du sort, Charles VIII est son gendre car il a épousé la fille de Maximilien. Par contre l’entourage d’Anne voit des avantages à cette union qui mettrait fin aux guerres incessantes. Aucun des deux mariages n’a été consommé. Mais Anne déteste le roi de France. CHARLES VIII Elle n’a que quatorze ans …Charles est loin d’être séduisant et il est peu cultivé. Il écrit à sa sœur Madame, vous allez être satisfaite. J’ai pris Rennes et la fille qui est dedans, par les moyens que je souhaitais » Quand on sait qu’il a pénétré par ruse dans les appartements d’Anne!! Anne se sacrifie et épouse son pire ennemi en 1491. Elle doit promettre qu’en cas de décès prématuré du roi elle épousera son héritier. Son royal époux est infidèle, paresseux et elle arrive à le dominer. Elle est reine de France mais aussi duchesse de Bretagne et elle veille à la prospérité de son duché. En 1492 elle fait rétablir ses privilèges. Elle donne naissance à Charles-Orland. Il décède à l’âge de quatre ans, victime de la variole. Ses autres enfants ne vivent pas. En 1498 Charles VIII heurte le linteau d’une porte basse et meurt le soir même. Anne ne l’aimait pas mais en est chagrinée. Elle retrouve sa Bretagne indépendante et tous ses droits. Elle exige du nouveau roi la fin de l’occupation. Louis XII a combattu pour la Bretagne alors qu’il était Duc d’Orléans. Il est amoureux de la princesse et lui propose le mariage. Anne de son côté, n’est pas insensible. L’avenir semble plus radieux. Hélas, le roi Louis XI avait contraint le duc à épouser sa fille Jeanne de France. Louis XII n’a jamais approchée celle-ci, repoussé par sa laideur. Il réussit à faire annuler son mariage pour offrir à la duchesse de fastueuses noces à Nantes, selon le vœu de sa promise. Cette fois Anne dicte le contrat de mariage et pose ses conditions. Louis XII accepte tout. REINE ET DUCHESSE Anne est une princesse cultivée. Elle s’entoure de poètes, de musiciens, d’écrivains. Elle soutient les artistes. Comme son père elle aime à donner des fêtes. Mais elle est plus exigeante quant à la tenue et à la moralité. Sa cour compte une centaine de dames qu’elle veut élégantes mais vertueuses et pieuses. Le niveau de la cour en France s’en trouve relevé. Elle mûrit et accompagne son époux dans ses obligations. Mais elle est seule à administrer sa principauté ». Après la mort prématurée de deux fils, Anne donne naissance à deux filles. Claude en 1499 et, plus tard, Renée. L’ORDRE DE LA CORDELIERE Anne souffre des conflits avec le Vatican, dus aux annulations des mariages. Car Anne est pieuse. Elle fonde un ordre féminin chevaleresque. C’est l’ordre de la Cordelière en l’honneur de saint François d’Assise franciscain dont l’insigne était une cordelière. N’y étaient admises que demoiselles et dames nobles irréprochables. En 1 504 elle est à nouveau couronnée reine de France ! LA MARIE-CORDELIÈRE Après la mort de Charles VIII Anne veut faire redémarrer la puissance maritime de la Bretagne. Elle commande aux chantiers de MORLAIX un vaisseau qui lui coûte une fortune. Elle le baptise la Marie–Cordelière». Louis XII a besoin de navires pour se lancer dans une croisade contre les Turcs. A son retour triomphal à BREST la Cordelière doit être réparée. Anne paie. ANNE BOUDE Anne de Bretagne atteint le but de sa vie faire reconnaître par la France l’indépendance de son duché. Malheureusement elle n’a que des filles et le sort de la Bretagne est, une fois de plus, lié au choix de ses alliés, donc aux mariages des héritières. Le trône doit revenir à l’aînée Claude. Anne ne veut pas d’un prince français. Elle obtient de Louis XII de fiancer Claude à Charles d’Autriche futur Charles Quint. Mais le roi de France craint d’être encerclé. La même année Louis XII est malade et décide de rompre les fiançailles et donne la préférence à François Angoulême son successeur. Anne attristée ne discute plus. Louis XII guérit et ne revient pas sur sa décision. LE TRO BREIZH Elle retourne en Bretagne et y reste. Elle va de ville en ville accueillie par des volées de cloches et des airs de biniou. C’est encore un triomphe. Les Bretons aiment leur duchesse. Passant par Morlaix, elle entend parler d’un certain HERVE DE PORTZMOGUER. Pirate ou corsaire? Les deux probablement; il n’a pas bonne réputation. Elle lui confie néanmoins le commandement de la Cordelière. Louis XII perd patience elle ne revient que cinq mois après… LE 10 AOÛT 1512 HERVE DE PORTZMOGUER entraîne dans la mort le vaisseau anglais le Régent. Ils sombrent au large de Saint-Mathieu. IL ENTRE DANS LA LEGENDE ANNE MEURT épuisée par les luttes incessantes et les grossesses LE 9 JANVIER 1514. Elle est regrettée par les Bretons et …les Français. La Duchesse a su préservé les privilèges de son duché mais à sa mort ceux-ci disparaissent. ELLE ENTRE DANS L’HISTOIRE et LA LEGENDE. A la mort de la reine Louis XII pleure beaucoup et se console vite. Il en profite pour marier Claude à François d’Angoulême futur François 1er. Union qui consolide celle de la Bretagne à la France Il meurt en 1515. En 1532 la Bretagne perdra son indépendance. Ceci est une autre histoire Renée Bibliographie Histoire de la Bretagne de Yann Brekinien. Anne de Bretagne d’Henri Pigaillem Revue Bretagne magazine Le combat de La Cordelière de Jakez Cornou Anne de Bretagne Textes Geneviève Morgane Tanguy Photographies Heré Roné – Gwenaël Saliou
Annede Bretagne C’était Anne de Bretagne duchesse en sabots oh C’était Anne de Bretagne duchesse en sabots revenant de ses domaines en sabots mirlitontaine Oh oh oh vive les sabots de bois Voilà qu’aux portes de rennes Trouva trois beaux capitaines Ils saluent leur souveraine Lui donnent un pied de verveine S’il fleurit vous serez reine Elle a fleuri la verveine La duchesse
Avant de porter le titre de Duchesse, la péniche était un bateau affecté au transport de marchandises qui portait le nom d’Idéal. Elle fut construite en 1929 en Loire Atlantique et fut mise à flot le 21 novembre 1929. Le type du bateau est un chaland ponté à une hélice construite en fer. La longueur maximum de la coque est de 26,38m et la largeur maximum de la coque est de 4,55m. Autant dire que la du canal a très peu d'espace lors d'un passage d' fut utilisée de différentes manières au fil des années transport de marchandises, hôtel de luxe et enfin office de tourisme. Elle est devenue le premier office de tourisme installé sur une péniche en Bretagne et regagne ses lettres de noblesse de dame du canal de Nantes à Brest au cœur de la Bretagne Impériale. Elle accueille le public toute l’année à quai mais a gardé sa capacité de Duchesse a parcouru les canaux de Bretagne jusqu'à Rennes en juin 2016
Cétait Anne de Bretagne, duchesse en sabots (bis). Revenant de ses domaines En sabots mirlitontaine Ah ah ah ! Vivent les sabots de bois ! Revenant de ses domaines, duchesse en sabots, Entourée de châtelaines, en sabots mirlitontaine Ah ah ah ! Vivent les sabots de bois ! Entourée de châtelaines, duchesse en sabots, Voilà qu'aux portes
22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 1600 Henriot marque HR utilisée jusqu'en 1922. Signature sur les deux faces. Décor attribué à Jacques Pohier. Assiette à bord contourné, diamètre 24 cm. Ecusson formé d'une croix de Saint-André de couleur verte et portant la mention "Breiz". Le marli de cette assiette est formée d'une plaine azur d'ajoncs et de bruyères entourée de filets jaunes. Au bas de l'assiette, il est écrit dans le ruban "C'était Anne de Bretagne". Nous ignorons pourquoi l'artiste a souhaité flanquer une paire de sabots en face du regard de la duchesse Anne ? Ce n'est quand même pas elle qui serait passé par la Lorraine avec ses sabots ? Dondaine ! Henriot with the HR mark used until 1922. Signature on both faces. Decoration attributed to Jacques Pohier. Plate in the by-passed edge, the diameter 24 cms. Badge formed by Saint André's cross of green color and showing the mention "Breiz". The marli of this plate shows a plain azure of gorses and heathers surrounded with yellow nets. At the foot of the plate, it is written in the ribbon "C'était Anne de Bretagne". We ignore why the artist wished to put a pair of clogs in front of duchess Anne ? It is not her who would be crossed by the Lorraine with her clogs ? Dondaine ! It is necessary to be French to understand ! Published by pse - dans Pohier Jacques Henriot
C était Anne de Bretagne, duchesse en sabots. Revenant de ses domaines, en sabots mirliton-taine. Refrain: Ah, ah, ah, vivent les sabots de bois. Entourée des châteleines avec des sabots. Voilà qu’aux portes de Rennes, en sabots mirliton-taine. Rencontra trois capitaines avec des sabots. Ils saluent leur Souveraine, en sabots mirliton-taine. Lui offrent un pied de verveine 5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 1534 Jacques Pohier, HR Quimper, Breiz Da Virviken "Breiz da virviken" signifie littéralement "Bretagne à jamais" ou "Bretagne pour toujours". L'auteur de ce décor est jacques Pohier, artiste déjà présenté le 22 avril 2010 dans notre blog utilisez la fonction de recherche pour revoir ces articles. La signature de l'artiste apparaît dans le décor sur la gauche du personnage avec les initiales Le décor montre un habitant de la région de Quimper semblant faire le guet en haut d'une falaise, l'arme au pied. En arrière-plan on remarque une chapelle typiquement bretonne. Marli formé d'un fond azur et d'ajoncs et de bruyères entrelacés. Marque HR Quimper utilisée jusqu'en 1922. Diamètre 23 cm. / "Breiz da virviken" literally means "Britain forever"". The author of this scene is Pohier Jacques, artist already presented April 22, 2010 in our blog use the search function to review these items. The artist's signature appears on the scene on the left of the character with the initials JP The design shows a local resident of Quimper seeming to keep watch on top of a cliff, the weapon at the foot. In the background we see a typical Breton chapel. Marli formed a blue background and gorse and heather intertwined . MarkHR Quimper used until 1922. Diameter 23 cm. Published by pse - dans Pohier Jacques Henriot 22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 1600 Henriot Quimper, HR Pohier, assiette Anne de Bretagne Henriot marque HR utilisée jusqu'en 1922. Signature sur les deux faces. Décor attribué à Jacques Pohier. Assiette à bord contourné, diamètre 24 cm. Ecusson formé d'une croix de Saint-André de couleur verte et portant la mention "Breiz". Le marli de cette assiette est formée d'une plaine azur d'ajoncs et de bruyères entourée de filets jaunes. Au bas de l'assiette, il est écrit dans le ruban "C'était Anne de Bretagne". Nous ignorons pourquoi l'artiste a souhaité flanquer une paire de sabots en face du regard de la duchesse Anne ? Ce n'est quand même pas elle qui serait passé par la Lorraine avec ses sabots ? Dondaine ! Henriot with the HR mark used until 1922. Signature on both faces. Decoration attributed to Jacques Pohier. Plate in the by-passed edge, the diameter 24 cms. Badge formed by Saint André's cross of green color and showing the mention "Breiz". The marli of this plate shows a plain azure of gorses and heathers surrounded with yellow nets. At the foot of the plate, it is written in the ribbon "C'était Anne de Bretagne". We ignore why the artist wished to put a pair of clogs in front of duchess Anne ? It is not her who would be crossed by the Lorraine with her clogs ? Dondaine ! It is necessary to be French to understand ! Published by pse - dans Pohier Jacques Henriot 22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 1527 Henriot Quimper, HR Pohier, plat Saint Corentin et Gradlon Ce plat représente une scène très chargée inspirée de la légende de Saint Corentin qui nourrit le roi Gradlon de son poisson. Le poisson de Saint Corentin a inspiré René Quillivic lorsqu'il mit au point son bénitier voir cet article ainsi qu'Adolphe-Jean Lachaud dont l'une des signatures représente un poisson coupé en deux voir bientôt. Il s'agit d'une véritable oeuvre de peinture sur faïence avec de nombreux détails. Circa 1915. Diamètre 31 cm. Oeuvre de Jacques Pohier 1871-1951 pour la manufacture Henriot, marque HR utilisée jusqu'en 1922. La marque HR associée à la signature d'un artiste est peu commune. Le marli, très complexe, est formé d'une bordure jaune, suivie d'une plaine aux ajoncs et bruyères et terminée par des rinceaux bleus entourés de filets jaunes. This dish represents a scene very loaded scene inspired by saint Corentin's legend which feeds king Gradlon of his fish. Saint Corentin's fish inspired René Quillivic when he finalized his font see this article as well as Adolphe-Jean Lachaud whose fish one of the signatures represents cut in two see soon. It is about a real work of painting on earthenware with numerous details. 1915 Circa. Diameter 31 cms. Work of Jacques Pohier 1871-1951 for the factory Henriot, marks HR used until 1922. The mark HR associated with the signature of an artist is little common. The marli, very complex, is formed by a yellow border, followed by a plain in gorses and heathers and ended with blue rinceaux surrounded with yellow nets. Published by pse - dans Pohier Jacques Henriot Cétait Anne de Bretagne C'était Anne de Bretagne, Duchesse en sabots Revenant de ses domaines En sabots mirlititontaine Ah! ah! ah! Vivent les sabots des bois. Revenant de ses domaines Duchesse en sabots Entourée de châtelaines etc

Anne de Bretagne Ann of Brittany 1880, Orain Lyrics YoutubeC'était Anne de Bretagne, duchesse en sabots bisRevenant de ses domaines, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Revenant de ses domaines, duchesse en sabots bisEntourée de châtelaines, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Entourée de châtelaines, duchesse en sabots bisVoilà qu'aux portes de Rennes, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Voilà qu'aux portes de Rennes, duchesse en sabots bisL'on vit trois beaux capitaines, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !L'on vit trois beaux capitaines, duchesse en sabots bisOffrir à leur souveraine, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Offrir à leur souveraine, duchesse en sabots bisUn joli pied de verveine, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Un joli pied de verveine, duchesse en sabots bisS'il fleurit, tu seras reine, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !S'il fleurit, tu seras reine, duchesse en sabots bisElle a fleuri, la verveine, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Elle a fleuri, la verveine, duchesse en sabots bisAnne de Bretagne fut reine, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Anne de Bretagne fut reine, duchesse en sabots bisLes Bretons sont dans la peine, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !Les Bretons sont dans la peine, duchesse en sabots bisIls n'ont plus de souveraine, en sabots mirlitontaineAh ah ah ! Vivent les sabots de bois !==Fin==

Cétait Anne de Bretagne, duchesse en sabots Suivre cet auteur Didier Le Fur Dans L'Histoire 2001/5 (n°254) , pages 64 à 65
Anne de Bretagne, la duchesse deux fois reine de France 003417 Femme la plus puissante de son époque, Anne de Bretagne, duchesse indépendante est couronnée deux fois reine de France, ce qui sera unique dans l’histoire de notre pays. Au début de l’année 1488, quelques mois avant sa mort, François II de Bretagne a perdu une bataille militaire fatale pour la Bretagne à Saint-Aubin-du-Cormier contre Louis XI. Désormais, il n’aura pas le droit de marier sa fille sans l’accord du roi de France. Il est bien évident que la Bretagne perdra tôt ou tard son indépendance. À 11 ans, juste après la mort de son père, Anne orpheline et duchesse de Bretagne, entre de plein pied dans le jeu diplomatique. Mais dans sa cour, personne ne la prend au sérieux. Anne a une très haute conscience de son rang et elle a promis à son père sur son lit de mort qu’elle ne se laisserait jamais assujettir par le royaume de à 12 ans lorsque la France déclare la guerre au duché de Bretagne. Elle découvre que de nombreux seigneurs l'ont trahie en se rangeant du côté Français, mais elle ne se laisse pas faire. Elle condamne les traîtres pour crime de lèse-majesté et envoie une lettre à Maximilien Ier, empereur du Saint-Empire, pour lui accorder sa main en échange d’une armée. Et pour sceller leur accord, Maximilien 1er envoie Wolfgang de Polheim pour épouser Anne par procuration. Épouser le roi de France pour sauver son duché Le problème c’est que Maximilien Ier n’enverra jamais les troupes escomptées et que les Français, qui ne reconnaissent pas cette union, grignotent peu à peu le territoire Breton acculant Anne dans la ville de Rennes où elle est assiégée. Dans l’intervalle, Louis XI est mort et Charles VIII, son fils, a bien l’intention d'épouser Anne de Bretagne, de gré ou de force. Si Anne n’épouse pas Charles VIII, elle perdra la Bretagne qui sera mise à feu et à sang. Si elle consent à se marier, elle sauvera au moins son peuple. Consciente qu’elle n’a aucune marge de manœuvre après deux mois de siège, Anne se résigne et signe un contrat de mariage avec Charles VIII. La Bretagne devient donc la propriété du roi de France. Un contrat de mariage qui ne lui laisse pas le choixAprès avoir perdu plusieurs enfants en bas âge, Anne de Bretagne se retrouve veuve à 21 ans et de nouveau duchesse de la Bretagne. En effet, le contrat de mariage prévoit que la reine hérite du duché de Bretagne à la mort de son mari. Elle retourne à Nantes et maintenant, c’est elle la le même contrat de mariage oblige Anne à épouser le successeur de Charles VIII. Louis d’Orléans, issu de la branche des Valois est reconnu comme le nouveau souverain légitime sous le nom de Louis XII. Mais, cette fois, Anne garde sa fonction de duchesse, on ne va pas lui faire deux fois le coup ! Si la Bretagne est bien rattachée à la France, c’est elle qui administre son territoire et en tire les revenus pour entretenir sa maison. Son coeur repose à Nantes et son corps à Saint-DenisEn 1505, Anne part plusieurs mois faire le tour de son duché. Elle va se montrer et découvrir un territoire qu’elle n’a jamais eu le temps de visiter. Les seigneurs doivent lui renouveler leur allégeance et elle en profite pour faire un grand audit du duché. Elle veut être certaine que tout le monde paye bien ses impôts parce que les impôts tombent directement dans son aumônière. Les années passent et la santé d’Anne se dégrade. À 36 ans, elle souffre de problèmes rénaux abominables qui la clouent au lit tant la douleur est insupportable. Elle meurt à Blois en 1514. Louis XII entre dans un deuil inconsolable. Il lui organise les plus grandes funérailles jamais vues pour une reine 40 jours de cérémonie, jusqu’à son inhumation à Saint-Denis. Le cœur de la reine est quant à lui placé dans un reliquaire en or et déposé dans le tombeau de ses parents inhumés aux Carmes de Nantes. La duchesse Anne avait stipulé par testament que cet organe reviendrait à la Bretagne. Corps de française, cœur de bretonne, on ne se refait pas. Son cœur sera réduit en poussière par les révolutionnaires qui pilleront les Carmes de Nantes. Il faudra attendre le XIXe siècle pour que son image soit reprise par les Bretons comme un symbole de leur identité régionale. La Duchesse devient alors une sorte de mythe. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info Justementtu te contredis ma chère, puisque tu viens nous raconter avec force détails leurs sous-vêtements $😒 $😂 $😂 oui, quand je serai grande et que j'aurai des copines je ferai aussi cela $😀 Et puis, tes réflexions de petite française sur notre Anne de Bretagne, auprès de laquelle tu n'es rien car tu n'accompliras jamais un 1/100iemme de qu'elle a pu faire lors de
"Secrets d'histoire" sur France2 avec Stéphane Bern consacre son numéro d'octobre à Anne de Bretagne. L'émission, tournée à Nantes et Blois, retrace la vie de la reine de France. Mais bien qu' attachée à ses terres, certains clichés circulent sur ce symbole de la région. 1/ Anne de Bretagne, Jeanne d'Arc, même combat La duchesse Anne est considérée sur ses terres comme "le symbole de la Bretagne écrasée par le royaume de France" , selon l'historien Alain Croix, qui rappelle que l'union à la France à l'époque "n'a posé aucun problème on n'a pas demandé l'avis du peuple...". "Elle n'a jamais su parler ni compris le breton" souligne l'historienne Murielle Gaude-Ferragu dans Secrets d'Histoire. Pourtant, la dernière duchesse de Bretagne véhicule aujourd'hui l'idée de résistance, d'une Bretagne toujours au bord de la révolution, une sorte de Jeanne d'Arc d'une région qui n'était toutefois pas une principauté. Didier Le Fur, auteur en 2000 d'une biographie de la duchesse, estime qu'avant même le mariage à Charles VIII, la Bretagne faisait déjà partie de la France, même si elle n'entrait pas dans le domaine royal et conservait certaines particularités comme le droit de battre monnaie. 2/ La "Reine aux sabots" Anne de Bretagne a été élevée comme une fille de roi au château de Nantes. Elle vivait avec autour d'elle un personnel composé d'une centaine de personnes. Quatre siècles plus tard, Anne de Bretagne devient une icône, pour les nobles, mais aussi pour le peuple. Une expression circule, "A1nne de Bretagne, duchesse en sabot". Cette expression vient d'une chanson populaire chantée dans les cour d'écoles à la fin du XIXè siècle. "Anne de Bretagne ne devait pas avoir beaucoup d'occasion de se déplacer en sabots. Elle aimait le faste, et ignorait assez largement le peuple paysan breton" ironise Bernard Quillet. 3/ Anne de Bretagne est à l'origine de la gratuité des routes"Le contrat de mariage stipulait +pas d'octroi sur mes routes+" plaide Jacques-Yves Le Touze, le coordinateur du Comité Anne de Bretagne qui organisait les fêtes du cinq-centenaire, et le système d'imposition du duché était différent. Malgré tout, c'est bien au Général de Gaulle et au "plan routier breton" de 1969 que l'on doit cette exception. durée de la vidéo 01 min 41 Extrait "Secrets d'Histoire" Anne de Bretagne
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