Home/citation/Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers, â Nus et maigres, tremblants, dans ces wagon Ferrat Jean Tenenbaum, dit Jean Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers, Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants, Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et et Brouillard 1963Citations de Jean Tenenbaum, dit Jean FerratJean Tenenbaum, dit Jean Ferrat Autres citations
Titre: Nuit et brouillard Paroles et musique : Jean Ferrat ----- C Am Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers, Dm G7 Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés, Em Am Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants, Dm G7 C E7 Am Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent.
La chanson de Jean Ferrat est mise sur le site en hommage Ă Simone VEIL Paroles de la chanson Nuit et Brouillard» par Jean Ferrat Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, nâĂ©taient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s DĂšs que la main retombe, il ne reste quâune ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ© La fuite monotone et sans hĂąte du temps Survivre encore un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, dâarrĂȘts et de dĂ©parts Qui nâen finissent pas de distiller lâespoir Ils sâappelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vishnou Dâautres ne priaient pas, mais quâimporte le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă genoux Ils nâarrivaient pas tous Ă la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux Ils essaient dâoublier, Ă©tonnĂ©s quâĂ leur Ăąge Les veines de leurs bras soient devenues si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair Ă©tait tendre Ă leurs chiens policiers On me dit Ă prĂ©sent que ces mots nâont plus cours Quâil vaut mieux ne chanter que des chansons dâamour Que le sang sĂšche vite en entrant dans lâhistoire Et quâil ne sert Ă rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille Ă pouvoir mâarrĂȘter Lâombre sâest faite humaine, aujourdâhui câest lâĂ©tĂ© Je twisterais les mots sâil fallait les twister Pour quâun jour les enfants sachent qui vous Ă©tiez Vous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent2Rois 19 35 Cette nuit-lĂ , l'ange de l'Eternel sortit, et frappa dans le camp des Assyriens cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Et quand on se leva le matin, voici, c'Ă©taient tous des corps morts. 36 Alors SanchĂ©rib, roi d'Assyrie, leva son camp, partit et s'en retourna; et il
Bersoniaet Villahermosa Ă©taient tellement dĂ©terminĂ©s Ă partager lâĂvangile dans cette communautĂ© que, malgrĂ© lâinondation, ils ont dĂ©cidĂ© de rester. « Ils ont rendu visite aux gens, allant de porte en porte en bateau », rapportent les organisateurs de VOY. « Nuit aprĂšs nuit, pendant deux semaines, lâĂ©quipe a partagĂ© la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu et
Luc MoyĂšres JâĂ©cris sur tout⊠et aussi sur rien, Car ça me fait du bien⊠et ça me tient debout. J'essaie aussi de creuser mes sujets, pour Ă©crire vrai, et si possible, utile. Si me lire avait lâheu ... [+] Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent... lâair lancinant de Nuit et Brouillard me trotte en tĂȘte. Au fait, combien Ă©taient-ils voici un an, combien sont-ils aujourdâhui ? Combien.... Dans ce morne horizon se sont Ă©vanouis ? Combien ont disparu, dure et triste fortune... ? Non, mon esprit sâĂ©gare, entraĂźnĂ© par le charme des mots. Ne fuyons pas la question ce ne sont ni les marins, ni les capitaines que visait mon interrogation, ni dâailleurs les dĂ©portĂ©s, quoi que... Je pensais en fait aux SDF sur Paris. La polĂ©mique a en effet rĂ©cemment lancĂ© une action mĂ©diatisĂ©e de recensement ponctuel, mais quiconque prend le mĂ©tro ou le RER tard le soir sait dĂ©jĂ , pour croiser leurs couchages, que le rĂ©sultat du dĂ©compte est dâĂ©vidence un multiple de cent, et sans doute de mille. Evanouis, disparus, câest vrai, ils le sont aussi, mĂȘme sans invoquer Hugo et son horizon marin, tant nous les croisons continuellement sans les voir. Une dame mâa rĂ©cemment abordĂ©, hier soir pour tout dire, Gare de Lyon, tandis que je filais vers mon RER en retour de dĂ©placement. Le temps que je comprenne quâelle mâinterpellait Ă voix douce pour quĂȘter, jâĂ©tais dĂ©jĂ engagĂ© dans lâescalator, sans lâavoir vraiment entendue, et Ă peine vue. Jâai eu, rĂ©trospectivement, lâimpression de lui ĂȘtre passĂ© au travers, et ça me trouble. Ăa me trouble, car je venais au fond, entraĂźnĂ© par le flot, de nier en acte une existence, qui par nature demande le respect. Je ne saurais pas vous dĂ©crire sa mise, ni mĂȘme sa couleur de cheveux, pourtant visibles ; ça, je mâen souviens quand finalement, ils le sont tout autant, brouillard et nuit ou pas. Prisonniers sans espoir dans un camp sans gardes, sans chiens loups, sans limites barbelĂ©es, tout aussi invisible que le furent pour les populations locales ceux du triste Reich de la honte ; prisonniers de leur condition dâexclus et sans plus de droits ou dâexistence reconnue que les malheureuses victimes de lâHistoire passĂ©e. Et lâon y meurt aussi, dans ce camp inavouĂ© et tacite quâest devenue la grande ville. De froid, certes, câest lâhiver et on en parle. Mais tout le reste de lâannĂ©e aussi, dâun tas dâautres causes dont la misĂšre et la solitude sont le seul trait commun. Combien, oui, dâailleurs, puisquâon est en hiver, combien sont morts de froid depuis ce dĂ©but dâannĂ©e 2018 ? Invisibles, lĂ aussi, dans les statistiques nĂ©crologiques, ils le sont. Un entrefilet çà ou lĂ , au hasard des journaux quotidiens, mais rien de bien clairement compilĂ© si on cherche sur internet. Ăa interpelle quand on y trouve sans difficultĂ© quâAssad aurait, Ă date, trucidĂ© 492 personnes depuis le dĂ©but de son offensive sur des quartiers de Damas oĂč nul dâaccĂšde tant le feu y est nourri. DĂ©nombrer sous les bombardements des Syriens dans les dĂ©combres de leur citĂ© martyre sâavĂšre sans doute plus simple que de le faire, avec dâailleurs lĂ encore des Syriens pour partie, chez nous Ă la nuit tombĂ©e sous nos porches, sous nos ponts et dans nos caves. Deux, huit, douze, vingt, davantage, pour ces morts de froid millĂ©sime 2018 » sous nos fenĂȘtres ? Comme le dit la pub du mĂ©tro il nâest pas que la pluie dâobus qui tue ». Notre indiffĂ©rence Ă tous, dont la mienne, et la pluie ordinaire dĂ©truisent disparus... Le dernier stade du dĂ©labrement des dĂ©portĂ©s, aux portes de la mort, sâappelait, je crois, musulman » dans lâargot des camps, sans doute parce quâils nâĂ©taient plus que dans la main de Dieu. Cette dĂ©nomination trĂšs particuliĂšre, il est vrai oubliĂ©e de nos jours, mâest curieusement revenue en mĂ©moire, je ne sais pourquoi, Ă lâĂ©vocation de ces malheureux que nous laissons crever dehors. Sur cette rĂ©miniscence incongrue, je me demande, notre rĂ©publique Ă©tant en manque de repĂšres laĂŻques, sâil ne faudrait pas inventer, au sortir des FĂȘtes de fin dâannĂ©e par exemple, une sorte de Ramadan RĂ©publicain. Outre lâeffet salutaire immĂ©diat de nous purger de nos rĂ©cents excĂšs de table, il aurait le mĂ©rite moral, comme le revendique son confrĂšre islamique, de rappeler aux riches que nous sommes lâexistence des pauvres que nous ne voyons plus. Vous aimerez aussi !Nouvelles Regards croisĂ©sLuc MoyĂšres Retour de dĂ©placement, un regard l'accrocha. Ronron du mĂ©tro, pas trop plein ce soir-lĂ , tous les usagers ou presque contemplaient leur smartphone, accaparĂ©s par son Ă©cran bleutĂ© ou feignant de ... [+]Nouvelles Essai, impair et passePatrick Liaudet Non, Jacky, t'es pas tout seul ; il y a toujours du monde dans les bistrots, gare de Perrache, place Bellecour ou rue de la Saint-Jean ouvre ses quinquets, ta carcasse d'ours ... [+]LivreNitro-collection 8 âŹ
Ilsétaient vingt et cent, ils étaient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants Siirry kohteeseen. TÀmÀn sivun osiot. HelppokÀyttöohjeet. Facebook. SÀhköposti tai puhelin: Salasana: Unohditko kÀyttÀjÀtilin? Rekisteröidy . Jean Ferrat L'Embellie. 1. joulukuuta 2014 · Ils étaient vingt et
Jean FerratNUIT ET BROUILLARDParoles et musique Jean FerratIls Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers,Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s,Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants,Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et se croyaient des hommes, n'Ă©taient plus que des nombresDepuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© que la main retombe il ne reste qu'une ombre,Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ©La fuite monotone et sans hĂąte du temps,Survivre encore un jour, une heure, obstinĂ©mentCombien de tours de roues, d'arrĂȘts et de dĂ©partsQui n'en finissent pas de distiller l' s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel,Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou,D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel,Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă n'arrivaient pas tous Ă la fin du voyage;Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux?Ils essaient d'oublier, Ă©tonnĂ©s qu'Ă leur ĂągeLes veines de leurs bras soient devenus si Allemands guettaient du haut des miradors,La lune se taisait comme vous vous taisiez,En regardant au loin, en regardant dehors,Votre chair Ă©tait tendre Ă leurs chiens me dit Ă prĂ©sent que ces mots n'ont plus cours,Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour,Que le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire,Et qu'il ne sert Ă rien de prendre une qui donc est de taille Ă pouvoir m'arrĂȘter?L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'Ă©tĂ©,Je twisterais les mots s'il fallait les twister,Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers,Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s,Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants,Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent. Tchadiens, Tamouls, Kurdes, Sri Lankais, Ivoiriens, ... on parle plus de wagons plombĂ©s, non, juste de bĂȘtes A320, mais au bout du voyage, qu'est ce qui a changĂ© ???Qu'est ce qui va changer pour ces dangereux dĂ©linquants de droit commun chinois que notre beau pays va pouvoir extrader allĂšgrement ... Mais aussi qu'est ce qui est en train de changer dans notre beau pays pour que les actes de rĂ©sistance ne soient plus clandestins, pour que certains courent le risque d'inculpation pour rĂ©bellion, entrave etc, toutes ces jolies qualifications juridiques qu'adorent les dictateurs de PĂ©kin ??? " RĂ©sister se conjugue toujours au prĂ©sent. "Lucie AubracDiffuser cette vidĂ©o est un acte interdit ...Diffuser cette photo aussi ?Rafle € Rampal € 20 mars 2007 € RESF € Paris 19 € sarkozy € le pen € raciste € ministĂšre de l'immigration €
etpuis ils sont rentrĂ©s par vagues, et bientĂŽt ils Ă©taient des milliers mais asser loin et grace Ă " un trouble fĂȘte" ils nous ont offert un ballet grandiose de plusieurs minutes induldence requise pour la qualitĂ© de ces photos sans aucun intĂšrĂȘt graphique ni artistique mais juste pour le document 10- 100-1000-10000-!
REQUIEM,aprĂšs quarante ans de Ă lâintĂ©rieure dâune pensĂ©e qui procĂšde par dĂ©tours et Retours. Ayant pris le parti pris de la folie, il ne peut y avoir, ICI, Une Ă©criture linĂ©aire. AltĂ©ritĂ© et fol en Christ nâest pas, ici, une Ă©criture dĂ©monstrative, câest-Ă -dire une enquĂȘte MĂ©thodique, qui a partir des donnĂ©es premiĂšres, tacherait de parvenir a la solution dâun ProblĂšme donnĂ©. Il sâagit ici dâun recueil de regards, de visages tristes et heureux, dâune MĂ©moire au bord de la mer Testament spirituel, et, interpellations Ă diffĂ©rentes Ă©chelles, et puis des coups de Gueule, avec comme seul certitude que lâaltĂ©ritĂ© de lâautre est le lieu originel de la Transcendance. Câest aller vers le sens la folie est porteuse de sens . Quitter les murs de notre prison, Ă©crit Berdiaef dans philosophie et libertĂ©, câest-Ă -dire les CatĂ©gories de la connaissance, lâespace qui Ă©crase, le temps qui dĂ©truit, la loi dâidentitĂ© ,dont il souligne quâelle est Ă©trangĂšre Ă la grande logique du LOGOS qui est une logique trinitaire, tout cela est provoquĂ© par notre pĂ©chĂ© contre le sens, par notre refus du PERE. Accueil Contact PubliĂ© le 25 fĂ©vrier 2019 par richard. Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers, Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants, Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent. Ils se croyaient des hommes, n'Ă©taient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s. DĂšs que la main retombe il ne reste qu'une ombre, Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ©
Ily a d'autres rĂ©cits, moins rĂ©pandus et qui tendent Ă disparaĂźtre de la tradition orale : que les Beta Israel seraient venus en Ăthiopie aprĂšs la prise de JĂ©rusalem en 587 av. J.-C. par les Babyloniens ; ou qu'ils descendraient dâun groupe dâHĂ©breux ayant refusĂ© de suivre MoĂŻse lors de la sortie d'Ăgypte ; ou mĂȘme qu'ils seraient des Ăthiopiens convertis par MoĂŻse lors
DivinitĂ©s rĂ©gnant en maĂźtre sur terre, faisant de ces horizons, leur royaume en tout point. Murmures glorieux dâune Ă©poque oĂč les hommes Ă©taient des sujets, sans distinctions, honorant ceux qui Ă©taient capables de dĂ©placer des montagnes, faire pleurer le ciel ou encore, anĂ©antir les terres dâun souffle glacĂ©. Un rĂšgne dangereux, passionnĂ© qui mena Ă de nombreuses destructions, et ce, jusquâĂ ce que les Dieux dĂ©cident de monter dans les cieux, offrant aux hommes la terre comme cadeaux. Jamais ils ne devaient oublier, et cette raison mena Ă de nombreuses naissances. Dieux qui revenaient, en silence sur terre, envirant les femmes, les envoĂ»tants pour finir sous des draps blancs Ă leurs cĂŽtĂ©s. Naissances donnant vie Ă des ĂȘtres capables de pouvoirs dĂ©sarçonnant. Enfant pouvant contrĂŽler la terre, garçonnet capable de faire pousser les arbres, fillette contrĂŽlant les flammesâŠlâair des HematoĂŻ commença. Descendances divines, ils furent durant trĂšs longtemps ceux que lâon acculait de trĂ©sors, de sourires, de mĂ©fiances. Ils prirent la place des leurs parents, sâimposant comme roi et comme reine, noblesse dâinfortune, commencement dâune monarchie sanglante. Et durant des siĂšcles, les HĂ©matoĂŻ prirent place sur les trĂŽnes, dans les chĂąteaux, imposant leur pouvoir, leur fĂ©rocitĂ©âŠjusquâau jour oĂč ils se firent de moins en moins nombreux. Naissances ne donnant vie quâĂ la mort, grossesses devenues rares, fausses couches nombreuses. La lignĂ©e, doucement, commençait Ă sâĂ©teindre avec les pouvoirs, dĂ©clinant avec le temps. Voyant leur espĂšce sâenfuir dans les brumes dâun passĂ© Ă©vident, les scientifiques furent exploitĂ©s pour trouver une solution, malmenĂ©s pour trouver un remĂšde contre cette stĂ©rilitĂ© visant les femmes et non, les hommes. Des annĂ©es plus tard, les mĂšres porteuses furent trouvĂ©es. Femme portant un gĂšne spĂ©cial, capable de stabiliser le gĂšne des hĂ©matoĂŻ et de donner, ainsi, naissance Ă un enfant, une nouvelle Ăšre vit le jour. Toujours stĂ©riles, ils parviennent Ă se reproduisent via ces femmes du peuple, naissant de part et dâautre des continents, programmĂ©es pour faire persister la divinitĂ© en physiques; divines et naissancescaractĂ©ristiques physiques Physiquement, les HematoĂŻ ne changent pas du reste des mortels. Ils ont tous le sang de couleur carmin, un physique qui diffĂšre selon leurs origines de naissance. NĂ©anmoins, il a Ă©tĂ© prouvĂ© scientifiquement, que les femmes sont stĂ©riles et ne peuvent donc plus porter dâenfants de façon naturelle, ayant recourt, de ce fait, aux mĂšres porteuses. De façon visuelle, il est Ă©galement, mais de façon subtile, remarquĂ© que les HematoĂŻ possĂšdent une peau plus pĂąle que la normale. NĂ©anmoins, ceux-ci nâont aucun mal Ă se fondre dans la foule des mortels. De façon plus, physionomique, les HematoĂŻ ont un organisme qui Ă©vacue naturellement les graisses et dĂ©chets organiques de façon, rapide. Vous ne trouverez donc pas dâobĂ©sitĂ© chez eux. Pour autant, ceux-ci peuvent tomber malade, et mourir suite Ă une maladie plus fulgurante. Ils sont mĂȘme considĂ©rĂ©s comme, plus fragiles, que les mortels. Beaucoup disent que câest dĂ» Ă leur manque dâinvestissement dans le monde, dâautres, que leur sang divin diluĂ© leur occasionne une tare gĂ©nĂ©tique. Ă ce jour, rien nâa Ă©tĂ© pour autant divines Descendants divins, chaque HematoĂŻ vient au monde avec une capacitĂ© qui est propre Ă sa famille, transmise par son pĂšre. Lâenfant aura donc, sans aucun doute, la mĂȘme capacitĂ© divine que son gĂ©niteur, liĂ©e Ă un des cinq Ă©lĂ©ments. Pouvoir qui se manifeste dans lâenfance, vers lâĂąge de huit ans, celui-ci est souvent dĂ©clenchĂ© par une Ă©motion forte colĂšre, tristesse, peurâŠ. Au dĂ©but, lâHĂ©matoĂŻ ne contrĂŽlera en rien son don, et câest pour cette raison, quâun apprentissage rigoureux lui sera donnĂ© par son pĂšre, gĂ©nĂ©ralement, ou encore, par un maĂźtre de son Ă©lĂ©ment. Plus lâenfant grandit, et plus sa capacitĂ© devient contrĂŽlable, nĂ©anmoins, il faut des annĂ©es dâapprentissages, avant que lâĂ©lĂ©ment soit maĂźtrisĂ© de façon absolue. Vers lâĂąge de vingt-cinq ans, le jeune adulte passera un test Ă SenĂ©tha, auprĂšs des maisons nobles et de la royautĂ©. Les rĂ©sultats de ce test mĂšneront Ă un numĂ©ro de stade stade 1,2,3,4,5, qui identifiera la puissance de lâhĂ©matoĂŻ. DĂ» Ă lâamoindrissement des HematoĂŻ et de la puissance de leurs dons, les hommes dĂ©passant le stade 3 sont extrĂȘmement prisĂ©s pour les mariages arrangĂ©s. Malheureusement, depuis prĂšs de cent-cinquante ans, aucun HematoĂŻ nâa dĂ©passĂ© le stade Autrefois, pour donner naissance Ă un HematoĂŻ, il fallait deux parents possĂ©dant du sang divin dans les veines. Malheureusement, depuis plusieurs annĂ©es, les choses ont changĂ©. Femmes devenues stĂ©riles pour causes inconnues, les mĂšres porteuses sont devenues la maniĂšre, unique, de donner naissance Ă un enfant viable. InsĂ©minĂ©e par le pĂšre, de façon mĂ©dicale la plupart du temps, certains HematoĂŻ mĂąles se permettent de faire les choses Ă lâancienne, la rĂ©ussite de lâopĂ©ration peut prendre jusquâĂ deux voir trois ans pour les moins chanceux. La durĂ©e est donc variable. Neuf mois de gestation donneront naissance Ă un enfant, ressemblant physiquement au pĂšre, et Ă la mĂšre porteuse. Depuis peu, des anomalies ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes un peu partout dans le monde, des Apollyons. Enfants ou adultes, capables de contrĂŽler les cinq Ă©lĂ©ments et non pas un seul, chez les mortels. Et pourtant, chez les HematoĂŻ, Ă©galement, se trouvent ces anomalies qui se font plus que discrĂštes sous peine de mort sans utilesChronologie â Pouvoirs â Les mĂšres porteuses â Les familles HematoĂŻ âLes Apollyons
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